CAHIERSDU CENTREDE LOGIQUE
1 /NTUITIONN|SME et THÉoRtE de ta o ÉtwoNsTRATT oN
CAHIERSDU CENTREDE LOGIOUE
1 INTUITION...
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CAHIERSDU CENTREDE LOGIQUE
1 /NTUITIONN|SME et THÉoRtE de ta o ÉtwoNsTRATT oN
CAHIERSDU CENTREDE LOGIOUE
1 INTUITIONNISME et THÉoat E de ta DÉmoNSTRATtoN
UNIVERSITE C A T H O L I Q U ED E L O U V A I N
rNSTrrursupÉntEUR DEpHtLosopHtE
C A B A Y. L O U V A I N . L A . N E U.V1E 980
D/ 1980 | 2457 | 17 @CABAY,LibraireConseil. Tous droits réservés
Ce recueil rassemble des exposés prÉsentés .mi-naire au "S de logique f ormal-isée " de l-'Institut
Supérieur de Phj l-osr:phie d e I ' I J C L p e n d a n t l _' a n n é e a c a d é m l q u e 19?8-r 979.
C R A B B Ee t
Th. LUCAS.
TABLE DtrS I'AT]EBES
L I J C A ST h . L e s t h è s e s d e l a D R A B B EJ .
i]9ABBE J.
lcgique intuitirnn.ste..
Pr'Ésentaticn tcnol cqi.oue Cu caIcul si ticnnel- intulti cnniste L:glque
lr.::,"rsi.trcnnelle
lntuitr
prot_.c11.
cnni-ste et
i : i I R E A UI 1 . l l o d r ) l - e s d e K r i o k e i ' t i E N - qJ . L .
lléductirn
C R A S B É" .
e
...
1g.
45.
"Dial ecti,ca"
lJornitl rsati en du ca.r.cul des frncti r é c u r s i v e s r r i r , r :t j , v e s
L ' : 1 ' Î , i A n DR . F l e m a r q u e s s u r
forcinq.
27 ,
naturelf
LU3A9 Th. L'interprÉtati.,.n
1.
69. nnnelles
l - a r l r j . - ' l , c s o n hei d e B r r , - u ' , ; e r
e3 . gS.
LES THESES DE LA LOGIQUETNTUITIONNTSTE Th. LUCAS
Bibliographie [fl
:
fr-eer'rE S.C.
,,Introduction
North-Holland,
fzl
to Metamathemati_cs,,
Amsterdam, London, lg?1,
r/|vHru- .t.
"Embedding classical
Zeitschr.
f , tiath.
Deux parties
Logik
dans cet
sembre des thèses
de la
1e système formel
(ae type
queront
lmplications
certaines
plicatlon
non retournée
La deuxième montre négation"
permettent
intuitionniste:
La première
de Kleene;
démontrables
basée sur [-fl
I.
en général
a) Pour Ie
le
calcul
système décrit
par Kleene.
des propositions
:
p -(o+p) (p -' o) -
( ( p * ( e - - - R ) ) - ( e - - *n ) ) P , P r e a + ( A . - - ' R nR ) e Pn
Q--rP
Pn
8--rQ
p-+pV
g
Q.-+Pv
A
( e - - +n) - ( ( o* + B ) -_ r(e v a _ .>n )) (P-- e) -' ((p - -ze)-*zp) ( zt -, I P'Q ))
lndi-
dans re systèrne. ,,doubre
du type
classique
pp,4g2
tlonniste. Voicl
sur lren-
reorend
des tabreaux
sens des transformations 1a logique
(rszsJ.
dans ce système1 une irn-
pas démontrable
de plonger
Logic,, pp.93-96
lg,
des lndicatlons
intultionnlste.
hilbertienJ
n'est
e11e est
1n rntuitlonistlc
exposé donneront
loglque
en quer
Logic
und Gruncilagen d. Math.
dans 1a logique
ss et
[Z].
2.
b) eour
des prédicats
calcul
le
: a)
et
z
I -+ P(x) Vx p(x)
Q -
V xP(x)+ e(t) P(xl -+ e .?xP(r)-o P(t)-+Jxp(x) avec les
rastrlctlons
classiques
c) Pour lrarithmétique:
a),
b) et
sur
x et
t.
:
P ( " ' ) 1- + e ( x )
P(o) n V" (p(r)1r=yr+x-y -7 Xr -
o
Xoy-+(x=
z+l-z)
X=Y-+Xt=y' o -
X*
x
x+yr-(r+y)' X.O
=
O
x.Yt=x.y+x
Les systèmes du schéma
classiques
1'7
de la
s'obtlennent
par
1'adJonctlon
:
que cect
A notcr
correspondants
négatlon
P --t P
affecte
mals aussi
directement
le
caractère
du quantlflcateur
cclul
intuitionniste unlversel,
car
aJoutcr 77 P(t) revlent
P(*)
à aJoutar
V x b z p (x ) -+ P(* ) ) , d'où
lron
déduira
V x z z P ( x )- - V x e ( x ) , rs
écrasant
atnsi
les
différences
que lrtntuitlonnisme
met entre
Vlt,
et v.
de la
Volcl
guelgues
négatlon.
Pour
tableaux
drautres
qui
éclalrent
théorèmes,
surtout
voi.r i1].
le
comportement
ztV
.t(ttPvrtQ)
-r1j -
^' t (1P ^,tQ)
* 17(pva)
tVt
,u llSll
,-t 7 P--+ttQ - n (tP-+Q)
ztPv-Tje
itt
17P
Tq
ttQnâ)-
ztPnztQ 7t(ttPatzô
Pvq
Pnq
t ( P v Q )- I ? t t Q
t A - Vt
- ttVT
t (tt P rttzQ)
tP vle
-
1t
,1,
zVrt
, rtv
tQa,q)
rt zt(tPvtq) - t (ttP att Q)
1V
,- ll3'1
lÀlt
4.-
p -+ tte ,ï., |
I I
^J tt(e-->q) , . . r - t - T P- z z Q '- -(P'tzQ)
/\.,1 (tt pat e)
p_e 4
I
I
I tt p-e 4t I
I
I 71vQ ,/\ ,/\ t'P
ttP
\q
IÏ.
Plongements des systèmes classiques
Le prototype négation
: si
de ces plongements
P est
on associe
rons ci-dessous Cu type
et
fô\
T*
Pa
'E;
T1
tçJ I est
e p
, t'ç,1;i ces propositions
l**
p*
P une formule
traductions
fr|-
des résultats
pT
des traductions
classique
les
de f et Ifr ,lf , de conséquence du cal_cul
relations
, du ca1cul des propositions
classique
crassique,
nécessaires
, du calcul
des prédi-cats
de I'arithmétique
oour
qui
la
intuitionniste,
lntuitionniste.
suivent
établir
intuitionniste,
permettent plupart
de simplifier
des propriétés
des
gue nous envisagerons.
Soi.ent une traduction 1es condittons x
des formules
x et
suivantes
un ensemble
pour toutes
A
de forrnules
formules
:
i tl A 7 - 7- 7 p* - - p * p o u r p a to m i q u e ( . 2 )A 7 0 e 1 * < - ) - 7 p b (:l A7(nn e)*4eprtn qrr (al A q1r.-+t(zp*nl8#) v 7(n L t T na*- * Q * e n rra în e A tT tz fp -, q )t-, (p --- s)* !u t (o) A?(J'e)*ooTVxzp* (.t) A r y7r p*+ pf , e n tra în e z t(* )r - ( V re ) x . Ah
(que nous appelle-
de prouver
p+
Les deux lemmes techniques -es vérifications
Alors,
géné-
ptr
'l:t"
respectivement
des prédicats
Je Iarithmétique
variable
plus
intuitionniste.
on essaie
r P e n tra^în e f* E:
sont
cu calcul
entralne entraîne
lrensemble
'r.
faisant
de double
crassique,
:
(eJ t-t
LemmeL.
1a transformation
propositionnel-
à chague formule
sa "traduction")
( n )' l - ; -
:ù
est
systèmes intuitionnistes
un théorème du calcul- propositionnel
71 P est un théorème du calcul ralement'
dans les
pour toutes 77P.F-- px.
formulesf,
p et
satls-
e et pour toute
6.-
Démonstration.On
If)
donne I,étape
Si P est
de la
hypothèse si
démontre
P sst
Af-71Px
"
-78,
e y R ou
à partir
P est
!xe,
de (z),
ou Vx g,
de ra forms E-+R si
de Ia
forme I
L, 1 n (a n a ),x -
Ie
(a)
Solent
conditions
sur
forme de p
la
on appllque
du lernme (1)
A 1:7Rx.,
t--- P " Y.
p*
définie
P sans autres
connecteurs
inductivement
selon
la
que
A
et I ,
de p
forme
: P*=Ppourpatomlque
(zo)x=78* (Oa n)Ë= Q*n Rr ( o v p 1 x = t(7 l * n 7 R f,) (a -+ n1r = Q* --;,RF (3xQJ*=7
VxzRf,
( Vxo)* =
Vxq*
On vérifir des lemmes pour
que cette A
0n en déduit
0n peut Jésignant
={zz
traduction
satisfait
toutes
les
conditions
Al0 atomique}.
T , f-,zp
que pour tout
établir
I'ensemble
g -
1e résultat
[ - * u A I P *t ' r z ] .
[C) par 1'argument suivant,
Ar
des axiomes de l- 'artlométi que :
/-k P l*u
1-*ur Ar
--_,
l-* u Ar
---t . , 4 t
- v
^!
résultat
Ar*uA
--,
entraîne
de 1'arithmétique
l--
*
l-:- er par (rz)
,-, À
:L F____ t
Pf, (car e*
Ar
F;
(car Ar
r.- À
Ar*) )
'La t |'>* '
l'équiconsistance intuitionniste.
de I rarithmétique
classioue
E)GIFLE 3.
La traduction
de lrexemple
par
P* défj-nie
les
mêmes clauses
que ceL1es
2 sauf
(e --B)* = z(oË^ 7 RxJ. On vér'Lfia que cette traductlon satisfait toutes les condltions des renmcs pour A = 1 - r 7 g - + e J Q a t o m i a u ej . 0 n é t a b l i t t e r é s u r t a t ( C ) , c o m m ac l - d e s s u s . O n a a u s s i l e r é s u l t a t ( n ) p o u r V = fi, en utili.sant Ia darnièru r"marque de lrexemple 1. Ê)GMPLE 4.
La traductlon
de lrexempre double
p*i7
2 en remplaçant
obtenue dans p*
à partlr
de la
chaque formure
p*
traduction atomique
par
sa
négation.
0n vérifle que cette traductlon satisfait toutes Ies conditions d e s l e m m e sp o u r A = 6 , 0 n é t a b l i t l e s r é s u l t a t s ( n ) , ( e l e t ( C J p o u r tout l-.
Cet exemple admet plusieurs
E)GI,PLE 5.
La traduction
variantes.
p+i aerinie
inductivement
par
res
clauses
:
P*=PpourPatomique
(zo)* - Tgrr (0 n n1x = 8*n Px (a v nJ,t = -z(zO* ^ 7#) (e -t n)* = z(8* ^ 7R)t) ( -3 xe)* = z VxTQ* ( V xe)* = -7 1x78rç . Gette -
A
9,
sauf
traductlon (t),
vérifie
on modifie
ss démonstration
forme
en prouvant
de P. De même on modi.fie
b P et
la
démonstration
subsiste
Pour une dlscussi.on
les
conclusion
->
tZP et
toutes la
clauses
des lemmes pour
du 1emme(f)
en :
Ertp*---p* cette
ra
assertion
concrusion
---->
par induction
sur
Ia
du lemme 2 en :
Vr*
moyennant quelques
des avantages
adaptations
de cette
traduction,
évidentes.
voir
[.2].
]t .P R E S E N T A T I O NT O P O L O G T S U D E U C A L C U L P R O P O S I T I T } J N E LI N T U I T I T N N I S T E . J.
I,
DRABBE.
fntroduction.
La présentation classique lrobJet
par
de généralisatlons
supérieur Ïheory
élémantalre
lrintermédiaire
à 2 (voirr
usuelle
des tables permettant
pâr
propositronnel
a fait
très
un nombre de valeurs
exemple, E. P0ST "Introduction
propositions",
of Elementary
rJu ca1cul
de vérité
Amer. Journal
tôt
de vérité
to
of ilath.
a General (rga1),
æ
ep. 163-fSS). i
Notons qu'i1 résulte immédiatement du théorème de représentade M. STONE(fS34J pour les algèbres de Boole que si l,on utilise les éIéments d'une algèbre de Boore (de cardinal e, v, ).2) ^ ' ' , --> (où a -+ b est défini par a, V b) comme valeurs de ,,érité, en interorétant : -e ttvrai" par le maximum de B, V, Â , / , J -a disjonction par V tion
-a conjonction -a négation
par A
par
-'implication n retrouve jette
/
(comp1ément booléien) ---)
par
exactement
, les
Nous aI1ons montrer :u calcul -anière
propositionnel très
-a topologie -rpropre -ette 'Jer
tautologies
remarque sera utilj.sée
simple
/R .orre
présentatlon
intuitionniste
désignée
résulte
et
1,étude
peuvent être
1es ouverts
comme valeurs
vaLeur
Aussagenkalkûl
classiques.
1oin.
que la
en utilisant
usuelleJ
présentation
plus
de la
É1émentaires
réa1isécs
droite
de
réerre
[avec
de vérité Ivaleur
essentiellement
en adr:aettant lrouvert ,,vraie,,).
de travaux
de A. TARSKT
und die Topologie,,,
Fund. Math. 3l (fS:e), :r. 103-134 et de J. MCKTNSEY - A. TARSKT ,'on closed Erements in ,-osure Algebras,,, Annals of Math. 42 (1g46), pp. LZZir62. -re introduction =:re
trouvée
-rtuitionism',
I ï *
I
(très
détaillée)
dans 1e récent 0xford
Univ.
a ra logique
ouvrage press
intuitionniste
d e M . o u M r ï r E T T, , E l e m e n t s o f
(tSlZ).
peut
L2.-
II.
Notatlons
- Terminologie.
Désignons par
PourAc
posons !
R,
lfEnsemble
des ouverts
-A
=
[R. \
int
A = intérieur
6
= int
Aa
Nous dirons
Lrensembre Boole
que A (€ G)
est
Rég dss ouverts
-
un ouvert
réguriers
de la
droite
réerIe.
R, de A.
A.
régulier
peut
être
ssi
érigé
Arl
= A.
en argèbre
de
(complète)
Rég,V,A,,,
A v B = (nu B)ar A A B = AN B Ar
=
A1I
A*B=(nruBJrr ce résultat
est essentierlement
Si, A, B eE (i) n c Aal (ii) nr= Ai-aL (iii) (i") (voir,
une conséquence des propriétés
:
, alors :
Ac
B + A"c Bt' (R n s)rl = drn etr par exampre, p. HALMos'Lectures
Van No*rend,
on Boorean Algebras*,
1963).
III.
.
Ensemble des valeurs de vérité
v*eur
gÉ:1g!ég :
ÀU
8
q
p^
B
A
^)p int(-A)
E
fR
I A
,
q ANB
B
P:+q A
A
int(-n
u e)
B
Notons que Ies car la
réunion
ouverts.
f
C o m m ei l
des ouverts, int
et
-A et -
de
A U B sont
et
"tautologie est
iil
(pnq)
-à
N.e
classique
la
des
A et B sont 'rcorrection"
pour définir
intuitionniste"
les
tables
toute
que soient
formule
l_es valeurs
dont Ia
de vérité
propositionnelles.
p est une tautologie
g =+ p !'est
a Ia valeur
ij-i)
que si
:
inr(-(nne) .ilJ
sont encore
encore des suysr.fs,
, que}res
ll{
à ses variables
Exemples
vrai
naturelles
sont
A
:?.
valeur
de vérité
de V et
de deux ouverts
à 1a si-tuation
Nous appellerons
attribuées
de vérité
pas nécessairement
n'est
a été apportée
de vérité
tables
intersection
pgg une tautologie p reçoit
lR\/ollorsque
On vérifie
très
intuitionnlste
car pour A, B €U
u A) =lR.
facilement
intuitionniste
car.^/d p
è
tR\lo].
ta valeur
que
pV-o (-p Êe sont gg
.rv)
toute
des tautologies
tautologie
à une traductlon :estreintes =:nt
.+
,,q)
:>
intuj-tionniste près,
triviale
aux cas où les
l.es tables
:V. La structure
(q
intuitionnistes.
de vérité
G,v
est
une tautologle
1es tables
variables
de vérité
prennent
leurs
classique intuitionnistes
veleurs
dans
lP,,Rl
classiques).
, A,
'
t -,2 .
Les tables de vérité intuitionnistes fournissent une motivation -aÈuPelle nous permettant drériger E,v, A,/ ,--+ êR C en structure :osant : AV B = AU B An8=AnB Ar
= Al-
A
B = int
[ - n . . , ,e ) .
p
1 4 .-
Ceci
va nous pcrmettre
de donner
une démonstration
simple
du théorème
de Glivenko.
Théorème
de GLIVENKO
si
est une tautologle ? intuitionnlste.
Notons
que ra
propriété
V.
réciproque,
(iv)
en vertu
Ara
est
Soit
du théorème
lrapplication
est ais6 LL
gue
En vertu
de
a (rv),
valeur la
et,
C. Q.f. d.
de ra
page fz
pour tout
ouvert
A,
A1 ,
. . .,
res propriétés
G , v, A,'
, -
An sont dans 6
ynç
booléienne Ai-a
de
T
(A*t pour
(iJ
à (iv),
page 12)
dans Rég, V,t\, r, è.
proposj-tionnel
, nous notons
pour ra valuation
de y
Agr
par
Aa!
f,6(A1,-qui topologique
, o*t ra valuation
) l'ouvert booléienne
qui
.
on a :
(ç6n,..,A,,))tt
€ E
une tautologie
en vertu
p6 ) une formule du calcul
topologj-que
valeur
de (a),
11 en résulte
est
dans Bég. définle
6
(en utili.sant
.)
donne à pg ra vateur
donne à p,
mais trivi-ale
l------------->
de vérifier
vareur
régulier,
y
de Glivenko.
e s t u n m o r p h i s m ed e
(U) Soit ?(pro.. intultionniste. si '..rAn) Ia
,--
régulier.
A
rl
vraie
(iJ
des propriÉtés
un ouvert
rl
est
arors
page 13.
Démonstratlon
(a)
crassique,
que si (-u
,f
=
est une tautologie .
fln(ao, p a r c o n s é o r r T a, u u v
, An) = /R
y*rs(oii.. classique,
,ortt alors
p o u r t o u t A 4 ,, - . , A r r est une tautorogie intuitionniste.
i
On montre aisément des consi-dérations une tautologie
en
classique,
est
une tautoJ_ogie
VI.
Indépendance
I1
est
que si
f
o
et
est
I
intuitionniste.
V , /\
.4
, -/
en logique
pro_
intuitionniste.
bien
connu que chacun des connecteurs
intuitionniste
Nous allons
étabrir,
par rapport
à
Posons
théorème de Glivenko
*-Y
:7
des connecteurs
positionnelle
le
érÉmentaires
alors
.u.uf
ra logique
utilisant
topologiques
à titre
Arurè
A =
est
d'illustration,
en utilisant
(z=,22+r)
LJ
( z z + L , 2 z. + z ) .
ze Z
trois
V, A r,v, =, cle autres.
1,indépendance
de v
une méthode topologique.
U
z€z B;
indépendant.des
Trivialement,
I û, A, B, tR] est stable pour l,intersection. cette partie est stable pour ,(=int-.) car d' = lR, A' - B, B, = A et
rR' = fl,
La table dans
suivante
donne les
A, B, A d B, IRJ { A,
valeurs
de
pour
les
arguments
i5. -
6
rR
A
B
,R rRF
B
A
AfR
AU B
û û
rR
fR
Ar,lB
/iR
fR
fR rK
R
IR
AB
,R R
AB
AUB
fR
rR
I d , o , B , t R ] e s t d o n c s t a b r e pour Not ons que lr on a to u J o u rs :
--à
X-+ p v
q ne peut
que
VII.
A
donc être
N
r
-)
,
Les
équivalente
ssi
XC.y.
à une formule
ne faisant
lntervenir
(donneràplavaleurAetàqIavaleurEl.
définitions
SiL
données dans re paragraphe
naturellement
dfintrodulre
Ia
notion
est l - a c l a s s e
O" réelIe
plus
(par
haut.
tautologie.
1es espaces
établi
cette
dans 1,'article
"propriété
des réels) sans point
drun
ce qui
E,
topologiques,
des teutblogies
notamment pour
celle
métrisables
Variante
de E-
topoLogique
3 peuvent
être permet
on a
:
est E- tautologie]
est
se retrouve
induite
espace
= I'ensemble
ce résultat mentionné
à tout
de tous
y
I
t.f
VIII.
Y=lR
Bemarque
adaptées
bres
.
résultat
et
les
de K.
de McKinsey,
universelle" rationnels
donc pour
isorés
intuitionnistes.
Tarski topologie
munis de 1a topologie
tous
(tnéorème
de la
les
espaces
dénombra-
de sierpinski).
GOOEL.
11 est triviar que si E est un espace toporoglque à r élémeht, alors lrensembre des E-tautologies est rrensemble des tautologies classlques.
Nous allons simple
pour
Frécise
:
Si
E est
alors,
montrer
qu'on
1e calcul
un espace topologique des E -
Irensemble
ne peut
propositionnel
espérer
une situation
qu'un
ne contenant
tautologies
nombre fini
distinct
est
aussl
de maniàre
intuitionniste;
d'ouverts,
de lrensemble
des
a
Démonstration
que E contienne
Supposons
(a)
ff
2
est
aisé
n ouverts.
exactement
que
de vérifier
\/ V
PieP,
1 a)
d'un
b)
d'une tlva le
c)
ensemble E (des états relatlon et
fait
p drordre
antlsymétrique.J que I,état
î
à chaque état
Jusqu I en 1 'état
ô
d
partiel (eour
i-et
de E dans les l-
;
sur E (i.".
de connaissance
drune application pondre,
de connaissance)
t,ensemble
réflexive,
on notera fpL
A dans E, lr- est
ou précède 1'état A).
e n s e m b l e s (qui J(f)
transi-
falt
corres-
ar= obJets construits
[- J .
doit satisfaire pour tout
f
à Ia conditi.on : ,21 dans E
l- p A =+ (^) "1,,- ç "f d)
dfune relation suivantes
ts entre E et7,
satisfalsant
aux conditions
:
pour tous états I-, À dans E, ::ur â' - [&.. . ."n )
tcut n-uple
d ' é r é m e n t sd e pour
toutes
:J J(A) "t Ae Ê
formules
on a
f
dans
g,Ç;
-) i . î6-)
o. l- = ,p fdl t*
1O y L è Jn o te Ie ré s u l ta t d e l a substi tuti on dans f
r.r
( * , , ,- . x n )
è?
et
," ai à xi ) ;
f-pA
Aof
2' r- i - - ? " V
e = >l * f
et l-rf
3. l-
Frf"Y
+>
ou
4. l-
*-f
!-=rf
ê7 pour tout A dansE, si l- n A, ou nra pas A
s. l- l : r l . l
< = + p o u tro u t A ,
6.r
c1G) e2
#r)
?. T
si p o u r t o u t est
valide
définition
si
lrensemble
de T
eIIe
qr"
est
,l'extension que p soit
ainsi
l-es conditions
était
un état
explicitement
.[çf),cna
â
dans tout
quelques
muni de Ia
E,
!-
1'est
de ce qui
des états
ss:.
drexiger
A *f
existe E- c f(,It)t'r
il
relque
formuLer
au Jour
1. Lrensemble
p A
sj.l- pÂet si
ators A"f f * yF)
e s t d i te v a l i d e d a n s l e modè1e(E , p,J,= )
l-eE
Nous allons
[-
--Y
4r)y6){*pour tout A ter que l-p A et pour tout â . &n), ^ F tplal .
Une f or m ule y tâ ]
f
l-e{
de connaissance Â
pouvant être réflexive 4,
terminal,
est
chargé
dt
les
chaÎnes
, A
étendant
nu1le si. A
les
est
permet d'alléger
cette
/-
de représenter qui
pour
et
. Le fait
certaines
1'on T.
1es reli.ent
connai.ssances
éventuellement
sans successeur, écrites
éclairer
pr
5 et ? seraient
ces conditions
pour
des rnotivations,
dit
relation
ou précède
modèle.
remargues
a été
feçaâ)
devrait
conditions vides
si
aJouter
T
Notons qu'en général antisymétrique
("
à l'exlstence dans Ia étant
p y et
pourtant
de ses éléments,
dans une boucle
des raisons
que des arbres inltiat
-+
bre
des obJets
tout
objet
étendant
chargée
y
,
I
; crest
t
de lier
ecp I
notion
si
une démonstration
en r'état Ie
effective
exactement
les
chaque boucl-e sur
un
de
|
*of,
, on a aussi
A
pour tout
arors Fy
, et
sous
/\*V.) parfois
à ne considérer
cette
(r)).
avec élément
restriction
est
de validlté.
dans cet l.- est
: bien
conservé
condition
et
l,ensem-
entendu,
dans res
imposée sur
1ue 'force"
conquises y
de connalssance
état
de connaissance
évidences
pour p n'est
(crr
, générarement
res
en générarité
préordonnés
sens de Ia
états
gain
valide
que si
à chaque état
déJà construits
3" La relation est
Ia
un changement
: ensembles autres
associe
/
construit 7
res
boucre
un modèle de M non
on se restreint
au sens strict
Ltapplication
clair
l t + q' t t '
tous
qui
d'écraser
f
sans conséquence pour
2.
est
techniques,
précédant
une telre
le
de transformer
contenant
m ê m e sc o n d i t i o n "
Pour
En fai't,
alors
par exempleJ
pas I'antisymétrie
suffit
puisqu'ir
l,
avec nos motivations,
facire
que M (ir
ne s'oppose
, Vp
de connalssance,
n'imposerait
est
: rien
ApV
A,
en un modèle illx préordonné
mêmes formules
les
( Tp
pas que p soit
on n,exige
= y)
à un progrès.
qui
qu'apparente:11
A
y p x *x
pau compatible
drune déflnltion
(Z)J,
et
des états
corrtsspondant
préordonné
(f)
drune boucrr
successi-on
drétat
(cfr
états 3
dans ce contexte, formules
à 1,état
f-
du langage permettent
La condition à 1'état encore
o)
ia
construits
La condition sormais
el.le parle
si
été
d'obJets
en
f
des évidences.
dans tout (Cette
par inducti-on
sur la
Les conditions
2,
état
alors
3 et 5 sont
Par contre,
la
tout
futur,
iI
'lf et
convient
de s'assurer
ne conduiront
I dition être qu'on
5
: i1
soutenue,
dération états
4.
obJets
tous
est
excru
les
objets
formu1eJ.
: une conjonction,
à tous
qui
une
au moment même. les
futurs
ue l--
-7f
dans
une contradiction,
de nouvelles
évidences
état
étendant
aussi.
Enfln,
f la
, si
étendant
en
T
pourront
, mais qu'on être
con -
tf peut
conditi'on'?
d'une proposition
construits
érément,
classiques sans avenir
s:ns les
que si
condi.tions
habituelles. ...
peine
4,
seulement
exige au
prenne en consi-
construits
dans les
l,ensemble
E est
réduit
à un
s et ? se ramènent aux conditions,
Le logicien
s
querconque
. 11 en va de mêmeoour la
y
lrêtre
éternel
aux fornule
une formule
d'admettre
que jamais
dé-
ilaspect
restrelnte
pour
solt
ultérieurs.
on vérifi_era
seul
appel
ne Juge pas lruniversalité
vu des seuls
être
c'est
de cette
que dans tout
tfz puisse I
l--:
en f
i.mpose quron soutienne
à soutenir
faut
soutenu
se décident
4 fait
aujourdrhui comme il
à bon droit
qui nront pas
[at...an)
classiques
ou une existentierle
soutentr
peut
sa varidité
disjonction
car
a été
construction
condition
soutenue
r1
-
a
étendant
condltion
; on déduit
être
.
1) impose que ce qui
soutenu
atomiques
eue .gfa] ne oeut
exprime
classique
est
un intuitionniste
3. Plnemières appllcations.
voici
querqùes modères très
exemple pour certaines
a : Ie tlers
exclu
on utllise
é1émentaires servant de contre
tautologies
classi-ques i
,f u -, ,f
,
un modèfe (e, p, S , F ) ainsi
constitué
:
E= 1,, ,ry\ e = { ( q , q \ , ( Ç . ,q ) , 0 ; , - : i r ) J , i a e s r c
p r é c è dÇ e,
quelconque;
â
F =l(tl,y)),id est e_"y On visualise
ce modèIe ainsi 1-1
Ç
I
Dans ce modèIe,
on nra pas
( y
Ç"y
pas démontrable
n'étant
q
) , e t o n n ' a p a s n o np l u s Ç * r r f ( p u i s q u e Ç e y !). "" o n n ' a d o n cp a s et n , e s t p a sv a l i d e . yury Ç=rFv1y,
b: ( ry--y)-'(y-,f) on utillse
Ie modèle (E' p, f
, p ) a é t e r m : . n ép a r :
Erpettcommaena;
F ={(q,il, (Ç,y),(Ç,,r)J (,r(
Y. 'f 1
r-1 lL
r-1 ' Dans ce modè1e t , t s [ r f de
q
, y compris
puisqueÇ"f
Ç
n,
\ Y ),
puisque dans aucune extension
, on n'urf
, mais on n,a pas
Ç,OV-y),
naisÇtlf.
Ffemarque: tout
ici
sembre se jouer
pas possible
de réduire
en
Ç;
1e -cdèIe
il
n'est au seul
cependant point
q
,
.1..{ -
puisque devrait
f,
dans ce cas *fV
adjoindre plus
n'!aurait
La présence
d'un
1a nécessité
aux évidences
f = t < p - - +t
Ç
on on
, et
o^" liet(.
permet de surseoir
q
dès
I:
de
, n'ayant
|
à venir
Ç
d'opter
aucun futur,
ntayant
oour
à
ou 1\f
f
.(vr) y(x) -- (: x)t y(,). Modèle:(E,p,f,F) Eetpcommeena;
, 1: [ ( ' : ) = i a ] , E ( , ; ; = { a , 6 } P= lq,,ytsJ)] ,/t5l '- t r L rd-J) 0n voit
de BETH et
Les procédures sont
bien
à expliciter
( p u i s q u ' o nn ' a p a s I 1 p z q l a )
(J") t yU)
Çc
Les tableaux
tiques
l 1 a - t(v ^ )f (x ) , ators qu' on
que
facilement
n'a pas
4.
Ç,1o,bI
les
le
connues dans le
on conclut
que la
formure
conditions
soient
prises
des tableaux:
ou leurs
est
imposent
et
la
formule
(p
que vous supposez fausse
I
droite
Afin
on recourt la
moitié
gauche 1es plaines -
pt,
ou non une contradiction, que toutes
en compte systématiquement, alternations,
séman-
consistent
drune formule,
ou non varide.
du faux,
dans la partie
: el-les
cas classique
dans chaque tableau, moitié
de BETH ou tableaux
de fabrlcation
selon oue loLlf,ss ces conditions
enchaînements
théorème de complétude
dénom:'éestableaux
conditions
).
de la et
à Ia droite vérité.
écrivez
par
selon
ces leurs
mise en scène figure Si
lranbre la
conséquent
de votre tabreau - est de la forme
y u X_
,
34. -
vous écrirez la
fausseté
et
également simultanée
suffisante
de ra
de
fausseté
de
1e schéma suivant
(où
est biffée,
sa présence àdroitede
si
été
indépendamment,
on peut
f,
du tableau
est
forme
de celle
^
Y
de
I
drolte)
, ou de celle
faux
1e premler
0n aura
donc
formant (resp.
O=
ra
présence
décourer,
. Afin
X
alternatifs",
de
de scinder 1'usage
re
vourant
en deux, Ia part,'faux',
moltié
Ia
avec la
moitié
secondJ tableau
2
où TL-,,.et Ta, s o n t
cette
pouvait
on convient
en deux "tabreaux
en deux également, du vrai
par
restituée
, sa fausseté
quron scinde Ia part,vrai,'(gauche) (gauche)
symboliser
nécessaire
.)
de la
dtorigine
puisque
Y,
est une condition
/
compte de ces deux possibilités,
tableau
,y , et I/t
:
V tenir
droite
puisque toute f information donnée par
droite
A et/ IlV
avait
Y
à la
de
et
f
démarche par
tt / \u X
partie
dans la
gauche (resp.
la
gauche fresp.
moitié
droite)
du
de Iralternative.
_
"sous-tableaux"
d " T o , T o 1 e t TnZ contiennent
tout
c e T _ . En tant
que prolongement
ce c.ie c:ntenait
T .' 5i CJ
T
'tc
et
A
représentent
schéma ci-dessus
res
autres
devient
règles
classique
sont
1es autres
formules
:
de déconstruction
bien
connues et
des formules
découlent
connecteurs
rogiques,
application
mécanique de ces règles,
fois
à droite
qui si
met fj-n au jeu tous
pour
les
cr
vrai-faux
1'ambiance partie
on dispose est
établi,
plus
drune démonstration alors
revient
que la
une terle alors
plus
portion
clôturé. des règ1es,
peuvent
être
que 1e simple
gouvernant pour
1es tableaurx rester
au début,
des formules
effective droite
déoonstration
à recenser
dit
en vertu
rlche
complexes.
contient
à la
y
tenue pour vraj-e.
énoncées tout
gauche drun tableau
est
supposée fausse
1es règles
naturerLement
par
une contradiction,
construire,
étant
du sens des
une même formule
être
cas
dans un mâme tableau,
: ce tableau
y doit
A l
intuitionniste
des motivations
pour lesquelres Le jeu
que
dans le
naturellement
clairement
a farru
du monde classique,
de Beth y sont
Ia
quril
une formure
conclut
L'univers
d'obtenir
dans ce tableau
tableaux
déconstruire
clôturés,
Le fait
à gauche constitue
et
dans T o , l e
orésentes
non plus
dans
nous dlrons pour
que
lesquelles
au moment où ce"tableau contient
des formules
n.existe.pas 1es manières
à ce moment. drinfirmer
*
36. -
une formule, "manquer
de déionstration".
prlx
9u'au
,(
si
i.B.
un prlncipe
Q , I
on trouve
qui
simultanément
de cohérence
une formule
ne peut
a et
impose
tableau
présente
une formule nta
oeut
manquer de démonstration
( dans tout
d'une. contradicti-on
déconstruire droite,
mais des modes sous 1""Ouels
servant
à
à gauche et
à
pas de démonstration),
d'accepter
comma démontrée.
Lp I
Pour manquer
certaines
de démonstration
connaissance tion.
formulesr
ceci
plus
tuitionnlstes tableau
en tableau;
tableaux
nouveaux,
règles
en plus
al-ternatifs étagés
selon
forme
aura
,f
de formation de la
de
des tableaux
celle
diachronie
Ia
,
une démonstra-
technique
syncnrones,
1y
à des états
renvoie
dans resquels
que les
comportent,
exemple de Ia
aujourd'hui
étendus,
explique
pâr
in-
de scission
d'un
de création
de
des états
de connaj-s-
sance.
Volci
ces règles
| 5i
Ag
",
A1
crll
: Si
Y ,l
Al,
de formation
apparaît
à gauche dans Ie
à gauche dans T et
Q nç
apparaît
:
biffer
à droite
dans le
T en deux tableaux alternatifs, (reso.Tr) recopier T sauf ,f ^f à droite
V
y ^
tableau Y
inscrire
T,
dédoubler
6
Si
d
a p p a r a î t à g a u c h e d a n s T , d é d o u b l e r T en T,
y--V
et rp : dansÏ1 ajouter
à gauctre (re=p. ,f à droite)
/ -+J
: SltTrpapparaft
à droite
II
S succéaant part
Pour les classique tituant vantes jet
T.rl recopier T sauf
(resp.
à T et
y transcrire,
gauche de T ainsi
formules
dtintroduire
dans T,
que
i1
l-e "domai-n'" du tableauJ, : à l.'ouverture
a ; 1es autres
imposé par
convient,
en respectant
du tableau
objets
sont
une des règ1e.
initial,
introduits
Va r-t
scission
présent
à partir
dans tous de T,
et
1es tabreaux
dans tous
les
toute
la ;
f
comme dans re cas a,
b,
les
(cons_
c,... règ1es
sui-
on admet un unioue seurement si
ci-après +
dans T est
un nouveau tabl_eau
à droite
des symboles pour objet
I et
i
à gauche, , et
f
quantiflées
créer
-rt f
: tout
alternatifs tabreaux
cela
objet
ob-
est
présent
obtenus par
succédant
à T.
s
38.-
vs,
Si Wy(^)
à gauche-dans
.oo"raît
dans T pour
tout
obJet
introduit
b est
succédant
à T,
a présent
obJet
il
par
et
pour
écrire
un nouvel
dans T ou dans un tableau
d'!écrire cette
à gaucfe
,(")
dans T : si
après
convient
dans ce tableau,
T,
également yG)
raison
a gauche
on ne biffera
pas
Vx ok\;
V:
Si Vx gU) bleau
S succédant
encors
apparu
a est
introduit
recopie,
à droite
à T
: si
a est
comme nouvel
à gauche toute
51 Jx e',, J x- e , V r ç V t g , V v t , t t I I I I | / formul-es dont le connecteur princi-pal est respectivement A,v -7,). ,
1,V. Ce cadre étant
fixé,
nous définissons
les
différents
schémas
de déduction:
AT
f
/
E
F^/ v; ->T
-7I
f FNl trl
--f-,l'
ANf
f / FNF
vE
X --ob
.
r-,/ -i,r
LçJ LPJ i +
evJ/
?
t
cP-+ a
--t-T--
/Y
f cpl
È t J
-
l=
-TtO
cD -t-
r-
T"t Vr
f('), vx y(r)
a-r
,o/t)
fv-rrre'nr,
Ve
.
JL
f4-
J_r yF)
Y
Vxfk) (t) f , 1
tfJ tl a L/:-
-J
lx çhc)
v
,
{vnjr
r-,
'1i
o.r.:
Remarques ----i---
1. Les schémurYI concernant
doivent
etJE
vérifier
}a restri.ction
x (appe1ée paramètre
1a variable
suivante
propre
du schémal qui
Y aPparaÎt. PaurVI,
il
(*)
f
lx
faut
que x n'apoaraisse
dépend. Dans ce cas il
iI
hypothèse
que x n,apparaisse
faut dont
/t
2 . chaque schéma doit pour
transformer
oessus de ]a
aépena, sauf
en question. comme suit
être
dfautres
fournit
tt
peut
veryons
)et{zE)
plpg intéressant dans ies
naturel-
groupes:les nati-on(E). crest
le
obtenir Ï1
le
peuvent
exemples qui
est
être
{p parmi |
supE::riméssi
rurrtr
de
(nI)
^"
f
ses hypo-
on rempt_ace
Ies
la
plus
de ses schémas se divise
logique
en deux
quortLiuet)
classification,
nécessaire
pour
intuitionniste.
connecteur
montre la
sequitur
de déduc-
et fes schémas d'élimi-
pas dans cette
schéma ne rentre (E ratso
comme nous Ie
remarquabl-es du calcul-
schémas d'introductl-on(r) Un seul
hypothèses
suivent.
que I'ensembre
schéma rnt
d'un
se comprend
t'^ l_e schéma
plus
de numÉroter les
y a une correspondance
tive
(--Il
V-.L .
5 . Une des particularités tion
alors
n'ayant
|
au-
de l-a formule
de l-a fcrmul-e
Éventuellement, de ?-p
apparaissant
quron décharge 1'hypothèse
une dérivation
une dérivation
sar
dans aucune
g G).
en une déri-vation
signifient
thèses
7 (p
des formules
Felr exemple, 1e schéma
j'ai
formules
3 . Les schéma (zT
ni
comme un procédé constructif
compris
horizontal-e
Ainsir : si
dans,{l
éventue1lement
des dérivations
barre
ni
I
du dessous. Les crochets
4 . I1
qu'on peut en déduire
clair
E Q).
Pour 1E,
et
pas dans r-es hypothèses dont
est
étroite
logique
et
entre sa règle
remarque 2 pour l-e +I).
la
s:qrn-ficationconstruc-
d'rntr:ducti-on
(comme
6.
Pcur obtenir
fa
logique classique, i1 suffit
suivante
d'ajcuter
Ia
règle
i7 of 1
C
i:
Vy
q(r,il tl
r
Exemples Démontrons
a.
l,
Rai-sonnement intuitif
Supposons qu'ilSoit
existe
a un te1 x;
Donc, iI
alors
-
/v1x
:
quel b,
b. Formali-sation
que pour tout
un x te1 pour tout
y a un x [x = a) tel
pour n'importe
.
ç(r,y)
individu
que on ait
donc pour tout
b,
y,
f yG,d)
(^,y)
valide.
est valide.
et ceci
V(x,bJ I
soit
est
vrai
y.
1-
Yv f (",v) L _lxVy f
3 ^ rG'r)
(*,y) Vy 1,
J^ V y ?(r,v)'Vy tl tette
dérivati-"n
est
servj- d'hypothèses
rII.
g(x,y)
VvSx g(*,yl
bien
-1
J x f(r,y) s:ns
au cours
- zk
Ay;rothèse, car les
du raisonnement
ont
formules
qui
ont
été décharqées.
ESUTVALENCE DU CALCULDE DEDUCTION NATURELLE ET DE L'AXTOMATISIJE DE KLEENEPOURLA LTJGIQUE INTUITTONNI]STE.
R:rppelons cette
axiomatique
:
(r.rJ
f-(f.f) (r.zl 'f-f) -, ((f -(y--tr))--'(fèX)) [z.rl f - (y.-(f n/)) (z.zl -.f f ^/
F ^/ ' F
(:.rl (f -l) - ((/-,/) - (fvy -/)) (:;.zl .f Fn/ /--'ç'/ fa.rl (y -'yt -: ((f -ry).-,f)
5 Û .-
-
(a.z)
-+(f .--.y)
f
Bèg1e d'inférence
(s.r) (o.r1
,i
:
,f ---t' , alors ,fi
et
.rf
Vx yk)-- y(t)' ,7(t)- JzyG-)
Bèg1es d'inférence
- si - si
,y -'f(x)
(valables
:
pas ribrement
x n'apparait
si
f(*)-,y
Dans ce système,
une démonstration
est
une suite
de frrr,;iul,es
comprenant que des axiomes ou des formules
obtenues i:1'aide
règ1es
d'inférence
précèdent.
Le but
de ce paragræb
qui
des formules
et
à une démonstration
3.a.
de montrer
est
les