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LA CLE de
la
CONVERSATION ABYSSINE
VOCABULAIRE.
PHRASES, CONVERSATIONS, VERBES ET CORRESPONDANCE
L'USAGE DES NO...
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LA CLE de
la
CONVERSATION ABYSSINE
VOCABULAIRE.
PHRASES, CONVERSATIONS, VERBES ET CORRESPONDANCE
L'USAGE DES NOUVEAUX AMHARISANTS par Le Chevalier A,
RAAD
B.
Docteur ôs-sciences, Pliarmacieu chimiste de 1" classe,
Sx-pharmacieii
en chef de
Impériale
GHALEB
Négociant,
la
Cour
Directeur de la société Claytou, Ghaleb et C"
d'Ethiopie
Imprimerie Catholique
Beyrouth (Syrie)
1910
L*'
TOUS DROITS RÉSERVÉS
— — 3
PREFACE La langue royale abyssine (A^i gous), dite langue
?
malgré
s),
les
AMBARIQUE
î
ou
'}1^/^ " lëçana ne-
AMARIGNA (h'^C
nombreux ouvrages qui y ont
encore mal connue. C'est au fur
ment économique
et
été faits, est
mesure du développe-
et à
commercial de l'Abyssinie que
cette
langue prendra de plus en plus de l'extention, et sera bientôt rangée
parmi
les
langues vivantes orientales les plus
importantes.
En mettant les
ce petit vocabulaire à la disposition de
commerçants, industriels
et touristes
ports directs avec ces contrées
des reconnaissances
lequel
ils
et à
le faire
se
qui ont des rap-
proposent d'y
faire
commerciales ou scientifiques, nous
aucune prétention de leur
n'avons
ment
ou qui
MM.
offrir
un ouvrage sur
puissent compter pour apprendre grammaticale-
fond
la
langue amharique, nous réservant pour
quand l'occasion sera plus propice.
Notre premier but, par
le présent
ouvrage, est bien plus
modeste tout en étant plus pratique. Nous nous sommes efforcés de faciliter les relations sins
avec
en les
facilitant
aux premiers
entre Européens et Abysles
moyens de s'exprimer
seconds. Pour cela nous avons choisi dans ce voca-
bulaire les mots les plus nécessaires à retenir et les phrases
—4— les plus usuelles,
crire à côté
de
la
en n'omettant pas
la
précaution de trans-
traduction abyssine la prononciation en
caractères latins.
Nous espérons que
le
avons passées en Abyssinie
nombre des années que nous et la
pratique que nous avons
acquise par notre contact direct avec les abyssins nous autoriseront à croire que notre modeste ouvrage rendra service aux
nouveaux amharisants.
LES AUTEURS.
— — 5
INTRODUCTION En mettant en
lettres latines
mode de
des
à côté
Pour guider
lecture le plus simple.
un accent
comme
lire
prononciation
MM.
les
le
nou-
ce o^enre de lecture, qu'ils nous per-
à
mettent de leur indiquer
Ne
la
nous nous sommes efforcés d'employer
veaux amharisants
1°
mots abyssins
les observ^ations suivantes
:
a très-ouverts que ceux qui portent
circonflexe (a).
2°
Lire les h toujours très-aspirés.
3°
Les
e
avec
un accent
circonflexe renversé Ce) indi-
quent une prononciation excessivement muette. 4"
Les q doivent être d'une prononciation gutturale
(un peu moins que c
et des
5°
celle
du J arabe) qui
h.
Le
trait
qui surmonte les
tion très ample analogue à celle 6°
tion
Les
s
spéciale
surmontés d'un qui
par
t\
/
du
trait
indique une prononciai»
arabe.
(ï)
ont une prononcia-
ne s'acquiert qu'avec l'habitude et qui
ressemble à celle du sentée
les différencie des
dans
^y>
arabe.
Cette prononciation repré-
plusieurs ouvrages est
une profonde
erreur.
7"
Ne donner aucun ton
suivent les
g
spécial aux
u
ou aux h qui
et qui n'ont eu d'autre but que d'éviter la
—6— prononciation du g
comme un
;
devant
e, i.
Pour mieux arriver à prononcer l'abyssin dans son idiome pur, nous
ne saurons trop engager M. M. les nouveaux amharisants à étudier, aussitôt possible,
l'alphabet de la
langue amharique. Ce sera le moyen le plus sûr pour tirer le plus de profit de n'importe quel ouvrage d'abyssin qui leur tombera sous la
main A.
R.&B.G.
—7— ALPHABET ABYSSIN L'alphabet abyssin se compose de
qui revêt
lettres
J3
chacune 7 formes différentes. Ces fonues correspondent
aux accents syllabiques qui font que chaque
une
syllabe à part et à
forme
lettre
une prononciation séparée des au-
tres.
La
forme, dite '7d'H
i*"®
son d'un
A
K
U
,
,
bref se rapprochant
fh
,
'^
,
,
— gue —
(originale)
î
ex
un peu de
a
un
sauf dans
l'E,
prononcent
qui se
,
bouche ou-
la
verte. 2"^®
La
un son
«
La
ou » bien
a
i
kaeb
forme,
avec un son d'« à
ï
—
sales
5"^^
dite
Ir^'fXà
s
forme, dite ^9"ft
consonne proprement
Nous
ge par un «
ï
—
e
dite
s
hanies
la
—
« ié »
;
— sades — a très
elle
l'avons représenté dans
prononce
se
,
devrait se pro-
,
mais
,
et
le
plus sou-
é ».
correspond à
la
peu ou pas de son
le texte
de cet ouvra-
» très fermé mis après les consonnes.
Enfin la 7™* forme, dite ii'iïà
tement
donne nettement
,
contentent de prononcer
6™^ forme, dite fï'^'h
spécial.
—
».
les abyssins se
La
prononce avec
se
,
— rabee —
noncer en principe avec un son de vent
—
».
4°*^
La
—
s
net,
3™^ forme, dite •'/Art
La le son
forme, dite Uù'û
prononciation « o ».
'
—
sabeé
—
,
donne
net-
Nous donnons
ci-après la
en suivant l'ordre dans lequel
nomenclature de cet alphabet les abyssins le mettent.
—9—
— 10 — 3°
Diphtongues donnant aux
lettres le
son de
4°
Diphtongues donnant aux
lettres le
son de
5°
Une
«
wou
»
:
wé
»
:
«
seule diphtongue imprime à la lettre le son de
« ia » c'est 2^
.
II
—
— — 13
L'eau
Eau
-15Gelée
Woiiriche
Glace
Barado Grêle
Humidité
îiCTfl^ l
CT-fli'lh
Nuages
^OD(^
Ombre
TA
Pluie
li^'iï
ou
î
h
i
Êrtehat
Êrhben-
nat
Dammana
a
fêla
î
i
ou TlVi^ î Zenab. Zenam
Rosée
TïéTji
Sécheresse
Baga
Sec
Daraq
Temps
Zaman
Beau temps
Bcrra
Tonnerre
Negoudgouad
Tremblement de
fî^.P,'Cî '^ïflïTï
la niêder
manaomt
terre
Vent
Nefas
Vent du Nord
la samèn nefas
»
du Sud
la dahoub nefas
»
d'Ouest
la m'erab nefas
»
d'est
In mesraq nefas
Le feu. Le feu
Eçat
Le Chauffage
Mnmoqia
Bois
Intchèt
— 19 — Dimensions et Formes.
Abaissement
— 2^ — Semaine
Ùa^'i
i
Jour
dA'>
ou
!
ou fir'i
4»'>
Seinoitn ou Sanient
Oan
Elai.
î
Heure
Saât
Demie-heure
Ekoul saât
Quart d'heure
Rouh saât
Une heure
et
And
de-
mie Minute
•Mfi-A
saât takoul
î
^4î4'îouJ^«fc.*î
Daqhj. Daqtqa
Seconde
la daq'iqa daqiq
Le matin
ïcouat
Midi
h'n-A
î
«I»*}
:
ou
kan.
Ekoiila
Après midi
Oïda houala
Soir
Mata
Nuit
A»^
Minuit
hïl-A
i
ou A»A.^ :
A.A.'h
ï
Lét. Lélit
EJwula
lélit
Zaré
Aujourd'liui
Hier
ï
'"hA'J'l-
:
Telant
Avant hier
Ka
Demain
Nam
Après demain
Ta
Le lendemain
Maghcst
Le surlendemain
Ba
La
Ath'ia
veille
Commencement
Oa-
telant o'tdia
nao^a oid'ia
sostagnao qan
Majammaria
2é Fêtes.
Fête
—-7\'eiiie
de Noël
Croix de
la
/^.^
Majesté
Yxft»
Gar^
s
i
''"ft^'A
Assé masqal
s
(17 Septembre)
En dehors
de ces
fêtes
abyssins
les
ont des fêtes
qui se répètent tous les mois mais qui, cependant, revêtent
une
fois par
an une forme plus cérémoniale.
Ces
fêtes sont
S'
George
'iS'dJtï
S'
Michel
"%hK^
S' Gabriel
La S^
S'^ \'ieroe
Abbo
Dieu »
le
Père
le Fils
La Trinité S'
Tacla Haïmanot
Gii'wrguis
s
Mikaël
i
l'flCh.A
*^C^9"
Gahreêl
i
Mariam
i
Yx^tD-
ï
(l'JA
HxHIC
i
/^AAï hfl"V
Ahho
r»A.t^
»
î
:
Bah
ï
Eighêr
Bah waU
s
Sellimê
i
'MflA
J&'^S-V
î
î
*i
Abonna manot
Tada-haï-
— 29 — Cinquante
50
Cinquante deux 52
A mm
Cinquante cinq 55
Atn.'a amniest
Cinquante
Amsci scddest
six
Soixante
56
éo
:jç
ftA^iourt.t^^î
houlat
Sélsa. Scdsa
63
Seha
sost
Soixante six
GG
Scka
seddest
Soixante dix
70
Soixante trois
Soixante douze 72
Saha ffë /in
s
i>A^
î
Saha houlat
Soixante dixsept77
Saha sahat
Quatre-vingts
Samâgna
80
Quatre-vingt un8i
Samagna and
Quatre-vingt
Samagna semnîént
88
huit
Quatre-vingt dixpo
Zatana
Quatre-vingt
^j
Zatana sahat
98
Zatana sïmmcnt
99
Zatana latagne
dix-sept
Quatre-vingt dix-huit
Quatre-vingt dix-neuf
Cent
Deux Neuf
cents cents
100
Mato
200
Houlat mato
900
Zatagne mato
Mille
1000
Chi
Troix mille
3000
So.d chi
— 31 — Un cinquième
jfC^
animest edj
and
edj
Ka
Sept neuvièmes
laiagne edj sabat
edj
Une
fend
paire
Une douzaine
And
Demi douzaine
Ehoul dar^an
Une
Asm
grosse
(12
dai'ian
houlat dar^an
douzaines)
Une grosse et demie
Asra semmentdar\an
Simple
And
edj
Double
Étf
Triple
Sosl
Quadruple
Arai
Quintuple
Ammest
Décuple
Asscr etf
Centuple
Mato
Une
And
fois
Deux
Dix
fois
fois
Cent
fois
Mille fois
etf etf
e'tf
guiié
Houlat gwié
fois
Quatre
c'tf
9.
^H.ï
Aràt guiié
ï
TJUi
Asser guïi_é
Mato Chï
giiïTS
guÏTj-
— 32 — Nombres ordinaux.
Premier
Majammaria
Second
Houlatagna
Troisième
Sostagna
Quatrième
Arâfagna
Cinquième
Amnïcstagna
Sixième
Scddcstagna
Septième
Sahatagna
Huitième
Semmeiitagna
Neuvième
Zalagncgna
Dixième
Asscragna
Onzième
Asra andagna
Douzième
Asra houlatagna,
Treizième
Asra sostaonia
Quatorzième
Asra arâtagnia
Quinzième
Asra anicstagna
Seizième
Asra scddcstagna
Dix-septième
Asra sahatagna
Dix-huitième
Asra scmmentagna
Dix-neuvième
Asra latagncgna
Vingtième
Haïagna
Vingt
et
unième
Haïa andagna
Vingt deuxième
Haïa houlatagna
Vingt troisième
Haïa sostama
— 37 — Récompense
'^'"'^"Aft
Rente
'T*CÇ
Réputation
i\9^
Revenu
voir rente
Richesse
W-fl-lh
Associé
K^iP^i ou
Société
*0ryX9
Mainmalas
î
Terf
s
Sem
i
Habt
s
Succession
4'TA
Travail
/*'<J« s
Tuteur
'PlUrt
*
ïid'ili
Anmrï. Charïk o Koupanïa 0^Jg/
s
5^m i
Mogiit
— 39 — Enfant légitime
ïtO^V'!**!"
Bâtard
-^.^A
s
Aj^-
:
s
Oiinatagna
Dz^/ak
L'ame.
Qualités,
Ame
défauts,
vertus,
vices.
lïdj
Talon
— 49 — Enha
Larme
ï\i(\
Sueur
'Plt
Lait
(D-t^î ou
s
î
ou
Urine
Tîl'lh
Cadavre
àih
Squelette
lj
s
O'irque neh
if]
î
Oiieh tieche
s
i
i
hlJ
O'mdem agagnahou
::
éLd^
s
"KtL
flA^
*
T'JÇ:
î
Farrada Echi balagne
î
eATÎi^
s
fenf iallachem
postérité
Juge
Makonnen
Prince
Masfen
Mon Tu
bouclier
es
Gachaïé
pure
ferou nech
Redoutable
Avec moi
Tafar't
h'dà'i
Ahheré
Triomphant
Achannâfi
Guet
Mattafaria
à
pen
-96Il
a été
entendu
Taçamnia
Mille ont eu peur Il
a été craint
Ma Il
Chifarra
Tafarra
HaïU
forcé
est
nouveau
Son bauclier
Tahaddaça
Tanna gâchao
s'est
fortifié
Mon
or
Oïrqé
Son argent Il
Bcrrou
Dûuh ala
a fait crac
Moulou guéta
Plein maître etc..
etc..
t—-5=-G*îÇî«=l-=5r~-^
— 97 — Conjugaison du verbe. Avoir.
J'ai le livre
«^XVhC
Tu
fl'îffU
Il
as le canif
a le sabre
Nous avons
hi
plu-
T"^^ OC^
M'-^
i
Y\t\\)
s
}\i\lr
i
Masbaf allagne Saniï allah
^lAfl>"
î
i
î
Gouradé allao
:
5M ^/k?;
î
me Vous avez
l'encrier
f 4»A9"
4*"}.^
«
h^'''tO'
Us ont
la lettre
ft'fl^fti
Oh-
/a ^a/«;n
:
alïâl-
chhou
i
M'^
î
(/fl//ii
Dahdàhic allâtchao
i
Imparfait ou passé. J'avais les livres
^'^^ihV^ •%
Tu
avais
les
en-
Il
avait les
plumes
les
nahhara-
gnc
P'Ï»A9"î 4**^/^7'
s
la qalam qaudoich
nahharah
î
•flC/'T' (D*
Nous avions
Vfl^ Masâheft
i
ïflî'^'fl^'1hî
^^^C^H'
grande lampe
mabràt
Tallaqoun imariallou
:
Imparfait.
choisissais
Je
du
Tu
achetais du sa-
C
vendait des ver-
Nous achetions du
TlH
s
.
ïrt
:
choisissiez
emarrcï
iiahhar
Sâbouna iega^à vah-
" fcflr
O'C^ïi î ^ÎÎ'T
ï
Bourtchiko ïchdi nahfeflr
i
Endjcra cnga\â vah-
du '^ii^s 'Ih'^CrtVî
Mare/ temariou nah-
"h'if^^à'
X'J^'îH
î
W
iflC "
pain
terrain Ils
î
iflC «
res
Vous
^fl"*!'
K*^ Emhâharad
î
s
vou Il
hî^^ntl^^
CT WlC
marbre
"
îrllC
vendaient leurs
chapeaux
/j^r
J^tVl'iD*'}
ni*
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s
Qobâtchaon
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••
Passé.
Je vendai
mon
che-
'}
Tll*
s
Farac'tèv chaihou
'^rf^TlJ
î
Doiillân marrath
s
ft
val
Tu
choisis
une can- •^A'J
ï
ne 11
acheta
ma bague
Nous choisîmes couleur
la
^Art't'î' *f*A'''**'J *> s
î
•"
IH
î
Qalabaiièn
'^A
,P^C*7
:
Lcla iâdcrg
s
ment Finissons
vite
la
porle
^'ti*'i ^^'*H'l,^iD* "i i Itiiftlt^Ctl
Calmez votre
fu-
'•'•
'P^^nV'ii ha>-^::
Tolomaiguiaoncnnetchaires
Qout'tahcn aoiûa
reur Qu'ils
mangent leur lt\i^li*'l'(0*'ii^
pain
'fl/V
Endjerâtchaon ihhu
s
Subjonctif présent.
Le mulet que
j'a-
Je
vendes
que tu des
f î^^'IUfl*"* Kanta
s
fl4*A** "
chète de vous désire
h'^'h
oi-
gnons Qu'il dise sa prière
'rt-'JïhC'll*
'l'îlT II"
haqïo i
ïxlli^ Ghoiuikoiirtendetchat
hfl'^A
s
tanic gai_\ao
eouaddallahou
"
^ti"']^']!
jZiRA
î
Salôtotin ïslalli
^::
Que nous compo-
Ti
ï\i
Aiid qenié ennïgiam
Que vous transpor- ^TrP^i'h'i^^
Dengaïcndetaggueiou
sions
un poème
tiez des pierres
Qu'ils
habitent la
H'if^'
s
*7/nll"
*7H*
i
s
"
KOAIC
s
J1jÏ*4«
s
Ehàlagar ïnourou
campagne Infinitif présent.
Recevoir
^^4*flA
s
Maqqabal
Verbes
passifs.
Indicatif présent.
Je suis attendu au
.C^^-yAs
ïi**l(Ui
eguebbi iqoïougnal
Palais
Tu
es
le
aimé de tout ïlùOi'i Ih/Vî "tiO
ÂJ^U
monde
Nous sommes
haïs
des méchants
Vous
invités
êtes
chez moi
VA fD^îi
de leurs
^*7
sao houîou
taou-
addadh
^HlA"
i
Kefouotch iJalotinal
î
'l'snà''^
s
s
y^/*';i"'^
hrt?'.9*'f'fl>*
i
s
^
Aï^-^A* "
sujets
Ka
Oidanu faïarrâkhhou
s
Ii«
Les bons rois sont
aimés
Ïl4*?*'r
"
Dao^
ka
naga.dât
saoicbâlchao ioddafi?«.//o«
Imparfait.
J'étais
aimé de
mon fi
maître parce que j'étais
bon
hrt'^'^^
i
^'(O?^
A
s
ii-V
Tu
étais
souvent
^
puni Il
n'était
du
'flll"
pas aimé
roi parce qu'il
s
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^"l
s
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5^:(ll î flï-
*^Aîî Achkaroun malkam
Hf^CP'f'
s
I^^r Us avaient protesté
s
Aïdollam blao nahbar
Futur. Je partirai bientôt
fl4*C'fl
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Tu à Il
arriveras lundi
Djimma
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main
à creuser le
puits
ï
KV
«
'1f"in
S'^o-y/o
''^
Naga
"
s
djvnma
tega-
bâllah
^l'Hyl•îh
"Vft
Baqerb qan cnnassalïahou
s
JK.'ïri^^»-^-:~-
POUR aUESTIONNER ET REPONDRE,
Qui Qui
êtes
vous
//Que j/J'ai
"l'i
?
Comment vous pelez-vous
ap-
?
désirez vous
?
besoin de vous
connaissez-
vous
h^
s
ÏU
îïra &* 9"7
:
-'
Mal! alla ?
Mân
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goiiddaï
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Taoïiqagnallah ?
::
?
pas l'hon-
Je n'ai
neur
de
^A;^ÏD4»^9"
:••
AliaouaqiÙ:m
vous
connaître.
h^^'^av^
Ecoutez-moi.
vous écoute.
Je
/xMe
comprenez-
vous ixje
Admêiague.
îirt"7yAll- "
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Êçamahallahou.
(D^--
Nagarié gahbab
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prends pas. Plaît-il
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com-
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T"t
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Nagareh
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nem.
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— 119 — .'-due dites
vons
9**'i
?
^*
s
âloti ?
Mm dcrno
-'
?
?
j/P Pliiez- vo us
Je
j
é^ù'ih^
fra ii-
comprends
le
mieux que
je
K'jî
s
îlrt'^AlJ'î K'J,^'
KAV'îCl'"
ne
i
Fnrançawl âf taou
s
cçamaîlahou
"
cridjï
alcnâggafcm.
le parle.
Pour Offrir.
Que vous
Cela vous
faut-il
?
ferait- il
9°1
s
JK-îJ i
^{FlMà^i
fl)^
plaisir ?
En quoi
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puis-je
vous être agréa-
ÇW^lf "^11
^d,^?h
Men
tefallegallah ?
Ih ihoncUhal oï
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s:
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^h
s
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Bamcridaslâs.-agiieb?
s
ble?
Que vous i-'
préférez-
fre.
i
J&ïfA'/A
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Mai khaUhal
?
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C'est de
que
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je
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s
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Pour demander. une
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faire.
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melavimeneh and
nagar
alla-
SeJtmié hêlah atadar-
guellïgncm
servi-
oi.
?
Je vous en prie. Je
la
vraiment
suis
vous
de
fâché
Ebâkéh.
f^J^
l/'V-n"-^
s
î
Ki^^\W°i)"-
la giicd hoiia Ingiw
cndâdahnêb.
importuner.
me
Cela
un
rendrait
bien
grand
Î\M»
'h'è'^
i
A^»: V'ïC
Ï^'A
service.
s
i
'^ Sélagué
J&Jf
cdjcg tâllaq
nagar ïhonagnal.
"
Pour accorder. Oui, certainement, j'y
consens.
}\Oi*'i "'i\(DJi'Y'i
Vfl^
s s
fl,^'
"
^
î
H
Aon^otiiiat no. hadj.
Ihotm.
O'i Je ferai
mon
possi-
ble.
?i'J^"î,3'A'\
^C^All'
"
"
C'est entendu.
WÙ.
Comptez-sur moi.
h^C.'^hlh «
Endamiiiïkhâlagnc adargallahoii.
Echu Adargallahoti.
— 121 — J3
me
charge de
AU
votre affaire. Si
'llCV'i
hf^i>I>Cfl
s
^»Al> "
s
vous avez besoin ^éjti**lO'\
demoijfaiies
moi
e'tcharressc
Uhallahou.
K'3'^»
i
Nagarhen
l/*'}'s^lftf^
Aî^All
OT*
m'ac-
pourrai quittes
je
s
J
KA/ifl[2i>"
!
t-^Vous êtes vraiment ?»j^'*7 trop bon.
V'îC
s
.^*"AP»'J
Â*
moi.
^h?ȎLlV
s
s
rt
"
Selanié
ta
adarroi:
kMligne nagar câ-
mU
ién houllou al-
raçaom.
È//(1o-
M'^r
so
nc-
hïnna.
j
^A^
s
^A*ï*
Dekamhen salmalle.-sleh
alqarrem.
'••
envers
vous. Je suis enchanté de
vous
avoir
été
^îl
s
flA
î
hiiV
7x1^9^ i ?J\
s
î
KA
Das seh âlah
enïéin
dus âlagn.
''
agréable.
'i
Pour consulter, délibérer, AVISER.
Que
feriez-vous
VOUS place
étiez ?
à
si
ma
h'i't'tl
9^'i
î
î
inr: «
'fl'1hl/">î
:^*?^C1
i
Jnta..
mgnal.
A«
s
moi une
}\^**i
satisfac-
•'
'V
^1
î
'lO^
h'3'^'T rt'f
J'en suis bien aise.
i
no.
••
La
grande
^A
s
'flA^'j'A "
«
T-Ji^'
!
Gucroiim no.
Dcnq
::
''
î
?
Je juis_furieux.
.
hÇ-f'î'
A
Quelle méchanceté! K'J^'lh' 4.->
r.
s
Kaftognal
:••
^A
î
îfl
£/;rfic?/
KdjdX^y^
?» alla kefât.
— T28 — !
C'est affreux
Vî^
.'
Vous avez mai
ao;i.
Je vous pardonne
pour
cette fois,
ft^
s
î
iï&*
Kefou sera sarrah.
:••
ftAH II' î
î
^loth
i'ïC
mais ne recom-
ïi'JAll.U
mencez
ÏIC
plus.
Kefon vacrar no.
ï
s
::
\\4*
U
V'?C
s
Oh
i
s
s
**l'i s
^A
ïl'A'i''i
s
î
Sela
Tjiré
/«'./;* îi
s
^/^ft
s
H/l'J'ï'î
rt^'i*
s
'l*ï"/A
H;'?" s n.lf'>
CT*'V9^
î
ïvl'^iiO'
a
nrt'J'I'rt
Au
i
s
h
(1,1/*
Maîhwi
no
;
/oz/tv
/w seul saât
tcn-
nassaUah.
5a-^y;;
ian
&î/'o;z
hibou
Ato;/-
hâsra
sallabou.
'l';i*''î"
Ba
seuls telagndlah.
ïî
(1» A'J'>
7\ï»9^
*
(0-\\} '/*
:
th
î:
:
A.A.
?i'J*7^ ;
Baarâi saâi
Ulïi.
s
En'icin cngii'edé o'idïh
"Ki^Vi
cndnnla adargaïïa-
}\?AlPli
bon.
— 137 — Le coucher.
B,
Étes-vous con-
de
tent
journée
A. je
votre
lt\Tr^,9^
ï
*I*'}1)'}'
'ii*?^\\ii
Qauchcn cndaincn oïlk?
?
Pas mal, mais suis fatigué.
^Sl
hO^
i
5^
s
'h'i
î
DagnoaidjidaJcuioginiL
.^.Ifl'Z'^T
A.î Je vais
me
biller et
désha-
me
cou-
A'flrt»'^
*è
î
l^ B. Faut-il fermer la fenêtre
'Î^A-î tD,^
^î-îj-j-
cher de suite.
K^'^A
i
s
?i'^^A
j
Lchsïcn aouleqié oir/a
tolo
inâgncta cchè-
dalhhou.
Si
«^ftïl'lh'Jî
^'^P'.
Mashotcn te^ga
oï ?
ffl.ft îî
?
A. Vous ferez mieux yl^••^s n.U^'>A'Vî de la laisser ou-
JR>nAA
iî
Kcft
hihonclligne
ichâlal.
verte.
B. là
A.
Pourquoi
ce-
ï
'iS^
a
Mcn
no.
?
Pourvoir plus ir'JHC
me
déclare
incapable
î
A'^e-lh
tât le soleil.
Je
î^'>
de
?iJi
ï
AJ'')
rt.C'î ï
Vfl>- 4î
Ji'JnC s
s
*'?P'Th
ï
î
rt.
K
Jaiihar sioita
la
ma-
j)^a/ ?/(?.
£?/îJ
djanhar
stoïta
niaïat altcheleiii
-138Yoir le lever du
A
-'/-Al'"
a
soleil.
B. Faut-il vous réveiller à 12 res
heu-
Aftï'^Uï
fl'jK.
vous avez
le
me
malheur de
hàsra
houlai
saâf lasiia.:sah
F^^^i)
i
Dufrah amt saât
grt^'ll*
i
Ôj?»^A
oï.
,?ftV/
jnoïa ïa asnassâba-
gne cndahon awÙ-
î
réveiUer avant 4
*>
hdif^VA
heures.
Il* 11
que
doux
le
lit
est
s
"h^
^A/^
s
^^
!
h'J
î
jK.m«r.^
s
sai-
"hlr^Af*
s
fi'ï
Oh
Toit
n
du matin.
A. Je vous chasse si
T- :ï
K'J,^'
s
''VO'ft
et
tfn''VV
l'eau
O^'h'?
versez
de
froide
dans
cuvette.
T .P,'^
C'est bien.
Donnez-moi
"h^lV
la
sahoima. D^^^ no. f
ft
dùtliii
^
i
ïl^iH-'t* îs
EnnahûinadaoïUima
Oi"b
i
^7/rf
viabaclm
gncnna ha oiicft Z;^^/.
oïha
seta-
çahan hedàh-
— 140 — Où
peigne
est le
la
brosse
et
"î.^'i*
?
Les voici.
S'^'
î
une chemise en
Miilona
hroch
ouic!
qatuis
seta-
nâfcho.
Emnilo.
h'ili'
Donnez-moi
A.
:
a
Of' J.
'flC^n
i
fD?„'>
f(/C
*^^M
s
i
tl
iW^ a
la har gnc.
soie.
A
J.
vos
ordres
Ifi'n. i
1»^*
a
Echï guélcu
Monsieur.
Aidez-moi
A.
à
mon
pan-
gilet
met-
mettre
îiC^'V
rt*-i
bcrtou ataba no ïa ncâ'tao.
venues blanches qu'après plusieurs lessives.
Quand
faudra-t-il
vous rapporter lin Je
?
le
Maiché
Uhsonn
mallêssello.
le-
— 149 — A. Samedi matin.
^'^'^
^ B. Je n'y
T
A^ii'"
î
'l(0*
h'}
fat batâm endinna-
'^
qannaqqebat mal-
::
/r^^^ ^^o.
— 151 — C.
Voyez comme bottes
ces
bien
thciiveii
cudïét
bamalkam
iaçarra.
faites.
A. Donnez-moi de
bonne
la
^z
-
M,
;^^
î
hm'ï'll
'1h î
hlK^H^
dV»^
s
'^"*t\ï^^'ri **l'P
s
i
s
Eyao schcd fnasJcotot-
?^
chcndagmoelakhâ-
?iAhAll*; '•
tlt^^^P^'^
Uahoii sela
maggà-
radjn.
deaux.
A.
Il
me
faut aussi
des tapis.
M. Soyez le
M',
tranquilj'ai
trop
9'"i"\^
1^
î
hJn,
'
i
^1
:
Mcntâf dagmo
"hd^^Pii
t*^^" ao'ii^
s
'•
gallahou.
ïi
A
s
Echi guétaé,cnïéinatc/jt'w
hmachai
d'intérêtàvendre
'^iîT:h^^A
dûllam
pour rien oublier.
9^
hoinn
«
tD.fc
s
AïUlMP*
A.
besoin de
J'ai
plusieurs
faire
tentes pour
mes
'iïït'
A
^'i^'i
s
fïhl^'t
4«'ï'
s
ft
''Vrt
"hd^^Pti
N° 19 qui
renommé
V
î
fl
s
oi,
ai-
sclaii-
mcnhn
alra-
Beiou dcnkohi
sela-
çam.
achharôichic
mâ.:-
saffat cfalleggalla-
hou.
M. Prenez du pro- ïi%J\"ll
est très
i
s
I^ "
soldats.
ofed
ft
9^
î
efallc-
th^Cl*
s
fi-^ft
A^»
s
s
hfl
hA"l'i
Edjihoutî,
harargue
c//;/^
^£?if?.: .(^/7a/?fl
/a
Sîfall'gou cssouniio
cm)
as.s'affou.
sent que ce tissu
pour
les tentes.
A. Est-ce que cette
J&U
Compagnie vend
A
d'autres marchandises
M.
:
s
A
ÏVOÎ^y d;'' :
î
CD^
:
A.
^if 'H
//.;
kouhhania Ula cqa
ichatal oï.
::
?
Elle a dans ses
magasins les mar-
Aie
à^
î
:
P^ïfA ll-A*
î
s
La agar
nO> eqa
ïminichal
hoidlou bahiébn
— 164 — qui
chandises
iggagnaJ,
conviennent pour le
pays
et
elle
fait
en outre
l'ex-
hoiiuu, sain, J;0(fa,
or,
telque
café,
oïrq,
Iclam houî-
lon ga^fo o'ida haher
kaddal.
portation des produits
dagmo
:
cire et
peaux.
A.
Achette-t-elle
les produits d'ad-
dis
Ababa
?
MM' 't*''?
htlH
:
h Addh
iD*/^'V
î
^^^n^TfO^l,
i
:
ma
Ahlniha ocft
mon
Imia-
larnmigag-
igaial
oï.
J&lHAïOÏJ?,!:
M.
Q.aelquefois
oui, mais la plu-
}\'i^
i
1HA
ixTr^ai ^' î
hr^i,
Andandéigaialcjid-
••••
;/,
mqarraon houlûïda agar dâr
part lui arrive de
loii
ses succursales de
ieko
l'intérieur de l'E-
Iliopia gnc\àl oeil
thiopie.
cS^O G^--
-
iai;-a':;xal
ha
-Ié5
Un
A. à
un voyage
J'ai
faire
rais
et
nociwaand
râkkoiir gâri cfal-
à
lég
ne
^'>'^
îî
-.
ga
nahhar,
peine de
me
dans
vre
ania
mmmiggagne
eudahon.
?
Donne;>vous
tnanka-
hâlâ arat
En
avez-vûus à ven-
mangad man-
iiassâtié
besoin d'une
quatre roues.
C.
O'ida
j'au-
bonne voiture
dre
Carrossier.
Chctcllï-
Bifaqd luos takaîlelao-
la
gne oïda goïda
sui-
mon
ïrn-
toullïgnc.
magasin. Èiinaho das mnimi-
A. Voici une voiqui
ture
me
assagiic
gân.
plaira.
C. Je crois qu'elle
vous
convien-
àCl)iP
i
^ou'-'i-
.Cl/'VA
i
Larso immatchc
mil
îî
dra.
A. Mais lide
?
est-elle so-
mVU-
i
W'i
(O
fanhârra no
oi.
iho-
— ié6 — Solide
C.
mais
!
voyez donc
Eudh'la
ressorts en acier, et
fait
pour
l'é-
HA'jAîr
î
?n.
Les roues
5
me
Manlarakkourôtchou ses hnasiolignal
A;:
minces. ces roues
.vous pouvez re le tour
Ba\7jh
caisse
Land
Il
ne faut pas
que
les voitures
de voyage soient trop hautes.
âniat
inoiiJou
coiiâçallahou.
me
paraît bien basse.
C.
It'iopiati
Udùlalloii.
pour un an.
La
ia
agarhouUou 7na\pr
de l'E-
Je vous les garan-
A.
vtanharah-
hûiir
fai-
thiopie.
tis
aïdoîlatu
flï^, îi
bien
paraissant
Avec
harahhct oï.
Air
C.
mmnù-
laialâlam
ternité.
A.
hc-
seraon ïmmalhaioii,
en général tout
est
cnvaho
cheboomicnna
rat
ces
!
Saicnou
(i.A
î
'^AA
Xfq
helo'il
massalagm.
la inangad gâii kajfc s'il
ahnmatchem.
\
-167A. Combien vou-
n
JVâcrao: nicn iahcl
lez-vous de cette voiture
?
C. Trois mille tha-
i:°ù\
i-nCii
Sosl chi her.
ïe rs.
A.
y
Oh
!
C'est trop
hi^ii 'dîhî
Vfl»-ii
Ai
!
heipu
110.
her.
C.
Combien en
Bamcn
voulez-vous donner
iahel ïga\àl-
lou.
?
A. Deux, mille
Bahoulat
trois
cinquante
cent
thalers, c'est
mon
to her,
A1H9"
sî
chï sost
ma-
kaiïh bal a
algaifim.
dernier mot.
Ara
C. C'est vraiment trop
ché
!
%ih
guen
ui
mais puis-
viaftchamnierou
m-
que vous ne voulez
bien
j'accepte
balai
dahon iagued hadji
pas y mettre
d'avantage, faut
tcnnïchc no, ha\-
bon mar-
iiialatié
aïqarrevi.
iJ
que votre
olïre.
Kamangad sciu?7iallas
A. Je vous achèter.ii
une
autre
il i
iyfit
i
MH
Ulan
cgaiâhalla-
— ié8 — que
aussitôt
Au
a
Utilb
bon.
revenu de
serai
mon
je
voyage.
revoir
AUV
!
s
Dahua
rt'J'fl
sanhct.
»
Un marchand
A.Avez-vous deux bons de
chevaux à ven-
trait
O'ti't'
s
de chevaux.
ùlrP
i
d,
KAU
ï
flJ
é^îX
î
j2. s
A'^ffT
Houlat sanga faras ^//(j&
oi'
la machcit't.
îï
dre?
M.
deux
Voici
KVll'
ll'A'lh
s
chevaux de race
h'J**/A,nf
anglaise qui sont
é^ùh «
excellents.
'^Ahî^
A,
Ce
sont
des
fn'>.Ç'
î
î
HC
?»JC*^ î
chevaux
mâles.
J'aimerai
mieux
PA9"
î
s
'
o'//:^
laïn-
^ar foras, cd-
fis ''^'ï^^^ûw nâtcho.
V'7'
é,^l\
•/•(!>• s;
f Ennaho houlat
s
î
'i'
O'H^
î
0///^ /ar^w i;â;^ra
nâtcho,
ïallam
o'i.
fOjKi ;î
des juments.
M. Alors prenez
KlW
sont
^''i
ccs grix,
ils
î
î
^^A'1|•
é,d,h
î
J
T 9"
Ennaho houlat tcn^•'>
«i^'ll-
;
01
i
?»
i
"
î
s ll'/V* i
ifl>*
£;;;m/70
baâ'tcr
Icg
£"m//^/7 j/c
o't
serâhcn
cmmetsarnio.
::
'PAÏl'"
fti^/i-
i
î
tlii
^Aî
»
Èchi,
enièm
scia
marraikagne da; hehgnal.
Dag
::
no.
bien.
M. Nullement
!
on
ne voit pas tous les jours
lade
un ma-
comme vous.
fl^*75'h "i
i
h'i'i' î
ianwiiahcl hacheta-
i dot*
i
gna
fl*fï'^'î'
^f
Badaggiicmmt anian
fî.^WA
Hflï-lhCî t^'-f^Ti
Donnez-moi votre ItxMl pouls.
î
i
-V'
hjf'll^i Al
"
so i^aûilcrmat-
chem alaycm.
Esl'î
ne.
cdjehcn açayag-
— '79 — Qui
est votre
decin
mé-
?
.^'(?
î
iT*
;
"Ti
ï
t^tlc
o^^'yiJVi
Dcro
hakïin
iiiân
madhânït
ladarg-
C« A. Jean.
M.
P-r/i'Jrt
homme
Cet
pas
n'est
parmi
noté
grands
les
?\rt*
VA** «
s
h;l"A4*î
s
tUT**?'
s
lohauncs no.
tl\
/'^
s
Ji.C'.^niCî^ "
Essou katallaq hakimotel)
gârâ atqol-
tarcm.
médecins.
De quoi
dit-il
que y"'J
vous êtes malade?
A.
Il
du
que
dit
c'est
et d'au-
foie
disent que
ttes
c'est le
cœur.
Yx^'l'ï'
î
fl
!
M«/
hachetâ
aiîza/
'fi;'*
s
^lA'flll
s
allabcb no ïaâlao.
hrt**^
î
f T-flîh
:
Essoimima îagouhbat
^lA'flUi
hachetâ allahch be-
(ïH^
î
'flO^A " AjA"'|Îs *7'J
fl.^P*"^
î
f A-n
î
ifO-
î
h
;
/oa/,
léhtchou gticn
biaïougne
m
Icb
no
alou.
A-« M. Ce
sont
tous
que
du poumon vous
êtes
Du poumon
h^O^^
f rt'Jfl fl>*
s
Hoiilloiim
aïaou-
qoum. î
n*fi;J"
^A'flU
ï
s
Ï
h
I^ sanba
hachetâ no
ia allahch cndji.
"i'^ «
malade.
A.
i
9" «
des ignorants. C'est
V'ii'9^
?
PA'Jn
î
h(0*
î
(D
la sanba no oï ?
— i8o — M. Oui, que tez-vous
sen-
KO^'i "J
?
A. Je sens de temps
Ht^ W,
de
W'>
M.
Justement
poumon
A.
parfois
un
semble
que
les
J'ai
!
quelquefois
des maux de cœur.
7mmnmch.
h'i^i
%
And and giiïié
^ù^tX
î
s
9^"^
hrt'^A
î
(Vû^i 9^A
s
î
î
*'7Pl*
'fl^A
^ùff^C
:
inethat
ïaras
cçamalla-
;;o7/.
fùlr
s
Wi^ Wi^^
Ihaocnna
ia
sanba
hacheiâ melekket.
andém
^?/^
maïat
îçaouerbîgnal.
"
^fî(0*9°i
^TP»:
hA'JO
Jî'W
A« h^^
M. Le poumon
!
s
K'Ji^î'"
s
AIU'^
A A.
P
yeux.
M. Le poumon
A.
j'ai
voile devant
J
Enda mïn derno ïam-
î
jK»*ïîfl'*V fl
!
me
Il
le
ï\Tf?^9^
J^Cifl*"
s
en temps du mal tête.
'•
f rt'JH
s
Vfl>*V "
a
Ji'JJ?7
s
^Tn9^
Je sens quel-
ïx'i^ T!,H.
tudes par tous les
jKpA^A Tr
s
And andém
lebiénn
iammagnal
«
quefois des lassi-
membres.
dagmo laçan-
^^ înnassal.
^ao'i^
«
Ihao.n
a
l^/V*
la ^a«&a noenna. s
:
7AP»
s
»
^«^ and kcm
gu'tié
d^k-
ilagnal galayèn
houUou.
— i8i — M. Le poumon
Vrt'îfl
!
A- Et souvent des
\f^'i^ IJU
coliques.
A M. Vous avez ce
à
petit
ap-
que
vous mangez
M. Vous aimez boire
vin
Il
un
à
un peu de
M^
vous
petit
après
'ftlf*
jK-^Crtl'î"
i
Hodïéncm heipu
gt.i-
lé iqortagnal.
''•
?tUAï ^AHA/Aî
£fô/ iashallahaî oï ?
"
©,&
hO^'i
1»^
s
^ID^'i
flljf :
i
(Di^fiV
le
hO*''i
Aon
'ï'
(D^ "
i
gnctaé.
la oïn tadj
teoïddal-
Jah oï.
prend
dormir
A. Oui
repas
Ç
M^
vous
le
s
poum- ^flO^
s
î
flï
::
;z(;c/;
haho'th ten-
inqoulf 'ÙTjihal
oï ?
^;^f"•
ïfaîlegahaî
oi ?
Aon
:••
Prt'Jfl
i
'li^^ «
guétaé.
Ihao, ia sanha noen-
nâ.
dis-je.
Que vous ordonne ^^^fl^9°9^l)
s
9"'}'
î
votre
Kamabl
^
poumon,
ÎVAA
ï
î
JK-H'/A
î
'/A
?
C'est le
mon,
h^^'flA 'ih'îif
?
1:^'?» «
i
sommeil
Et vous aimez bien
M.
la sanha no. s
>
A. Oui
M.
s
«
?
Oui Monsieur.
A.
îfl>-
i
médecin
rhlfl,?"
î
lammiastâmmtnïch
hakim men men H-
— l82 — pour nourriture?
A. De
la
soupe.
M. Ignorant!
De
A.
la volail-
9^'i
'fiCA
ï
'fl'\
î
hti
"flA
î
Yxti.
s
M
àlah ?
Chorha helâ âlagnc.
^1^(0*^9^ a
Aïaouqetn.
F-G^"' «
Dôrom.
le,
M. Ignorant A.
Du
h^a>'^9^
!
PTJ^'i^
veau,
Aïaoïqïm.
::
/*"
s
la
J^d!;flm ^^^i.
;J::
h^O^'^T*
M. Ignorant! A. Des œufs
frais,
T'feftî'"
"•
Aïaouqetn.
ïi'J^'t
:
feqqouçcm cnqoulal.
A". M.
h^O^'^^
Ignorant!
A.
Et le soir des
fruits
et surtout
de boire
mon
vin
s
HlLU
S(wich
mmaïqqaha-
/t^// roiih alla
s'tloii
sammahou.
nés ne prennent pas.
B.
Oui, ceux qui
ont
été
ici et
dontlabou-
frappés
*\C
î
A'"'?'
î
K
^^o;/
^:h'l'0^
ia
s
HAî h^P
haiié agar
keft
atiamaon
ia-
bâiâ
afanihassaroub
— 189 — che du lion
est
T
hV
î
ï
ix'}
sao aïqqabbalaom.
ouverte.
A. Cette pièce bien
on
légère
est ;
^V
'flC
i
ifl>-
:
i
*AAî
hAft
; je.
Ih ber qallâl no keî-
Us imaslal.
la dirait faus-
se.
B.
Nous
allons la
peser, vous
vo-
yez qu'elle est de
*J&
s
A'W'H'ïA
V ÎT'Ï.HÏ* ;hlD^A « i
î
^
Qoi
lemaiicmielleh,
kamïiânou ittaouaqal.
poids.
A.
encore un
J'ai
chèque chez
à
Dagmo ka
toucher
bïét
auriez-vous
gence de
allagne,
biétoun indi tassa-
l'obli-
me
iammeqabbalao
hawâla
M"" Pierre,
ato Péïros
don-
yougne eîammcno-
ner son adresse.
tâîlahou.
;^Al^ « B.
Il
demeure
tuellement dans prison
la
cause
de
Eoïhni ta assroal eda-
ac-
A
ï
M(0''}
i il
011
saïkaft h'iqar no.
pour det-
tes,
A.
Ah
Dieu
!
!
Mon
Oia goud!
— 190 — Hâtez-vous de
B.
faire
protester
votre
traite
au
^UV
:
^^(V A î
Haoïîahen niah
s
(O^i ^ù'iîX*^
o'tâa
faransawi qonsonl
î
hïdcnna keçaçao.
VL^KT^s
YiÙfKO* «
de
consulat
VPiiV}
France.
A. Dans quel em-
J&U
s
5lC
me
C
î
JK.A^'
barras cela va jeter
t*?
s
-^/^
A"
?wo-(7r
tchcggiicr
ilagiial.
!
Je ne connais rien
PH.U
?%1C
î
/**
î
aux
affaires
de
CJt
î
ce
pays,
je
Î^Ti
fl-f A";
pressé
suis
de
V^^o
KAfl^T
^
lanih
agar
serai
alaoqcmenna
tolo
wak'iiJ «0.
*
VA*" "
partir. J'ai
absolument
besoin de cet ar-
'flC
0*7^
:
,PA
s
A
^A*7A'i
'•
5n' hagitcd
'msfalle-
guclUgnal.
gent. J'en
perds la
tê-
'i'*Kl
^iA'7
s
Tchïggucr âlagnc.
••
te.
B. J'espère que vous
ne serez pas em-
t/jRH
"rlC
il s
K/^flAU
i
"
HaïXoh tchcggucr
ai-
haleh.
barassé.
Venez diner
ce soir
avec moi
après
nous
et
causerons
de votre
affaire.
H&
i
*^ ^'
i
tiïxà*
Zârc mata
la
crât
Ts X'J'.^T'^^
endctmaiàlignenna
A'îV
'mmîhônaon hoidiou
fl'"'J
î
s
fî.lTï li-A*
s
?i
eniicmôkkarâJlcn.
— 191 — Vous
A.
bon
êtes trop
vous en
je
h'^M.h'd
i
'flll*
tluCi ^ftTA'^if"
Beion egiis.behèr
is-
îillîgne.
beau-
remercie
coup.
Mais ce Pierre que devenir
va-t-il
?
^Vtl
T"i ai*
B.
répondra de
Il
sa
de-
faillite
vant
tribu-
les
i
s
^Tt^ft
:
A.U"J
5f
î
mm lihon
uù,
::
\lfl/ir-lD*'i id^i^^
Keçâraomihadâgnennat
immarammaraî.
^''^CP^ù^
'1h ï
A
Ibcs Péïros
"
naux.
A.
Si
c'est
une
banqueroute frauduleuse B.
Il
la
?
}\i^
'Ih s
sera puni de
}\(DD^
i
bat cnda hones.
Eohnigahhetoedmiéo»
'î'fl'^ î
"h^'^tD^'i I>A*
forcés.
Ifi
s
Léhennatiaiagagnâh-
'•
tl
peine des tra-
vaux
Aj'flV'lhî t''J*lTrt
houllou tttassaral.
s
^^hù-
s
A:s A.
Quelle chute
rtT*È'1'
pour un
homme
'fl;''?"
qui avait
fait for-
fl(D*
tune en
si
peu de
temps. B.
^*
ï
s
W
s
Baieqït qan
habtâm
lahôna so endïèt ta «/ïa /i//fl^
fw
keçâra
?
«
A"*"
s
fl
To/c;
haht ta agagna
so haiolo ioiddeqaî.
— 192 — moins
-f-A"
solides.
i^(D^'^
s
A== A. Et bien mal ac-
ne
quit
profite
Un Ah
!
aïtaqcmem.
créancier
son
et
débiteur.
Era,
qarah
halelli-
gne
guétcié,
ravi
de
das
helognal
voir, et
que
•flA"?As
n^
cndiét
ba-
mamtâJeh, cnnaTJa
veux du mal
kefou saotch fatnao
mes gens de ne
ha asgahhouh end-
je
à
Kj^rtlT?"
que
suis
vous
la laçarraqa ganiab
iTrll
Monsieur,
approchez, je
'fl î
s
9" "
jamais.
D.
'
f 'l*rt^4*
pas
vous
fait
entrer
avoir
tèt
da2 nabhar.
tout
d'abord.
C.
Monsieur
vous
suis
Ègiiahehèr istelligne
je
très-
TA-??
s
^;^P.«
guélaê.
obligé.
D. Allons vite une chaise pour
M^
"hé,
î
•f^A"
flï'înC s
î
fl
hî^/IvA
Era batoh amhullat.
oiiihar
— 193 — C.
bien
suis
Je
commc
D. Point du tout,
soyez
assis.
me
C. Cela ne
je
vous
que
f Aï'"
s
fait
iallam
HA *7.^
''
"h'i^
î
?A9"
s
cqo-
malhhou.
h^V"i9^i ii^i Aihoncm
'îîT*
rien.
Gued
K4»
î
'•'
*'liKlh
cela,
veux
*7.^
h^ti^
:
hal
cndji.
î'"
î
qoitich
G?/^/ rnlJani
mcnem
aïlagncm.
r-' D. Allons, asseyez-
*|î^
Itxl^ s
rt'\îï
:
£";« ço/z/d? /'«/a.
vous. C.
Il
et
n'est besoin
^"VJ"
i
qu'un
"19^
i
n'ai
je
mot
vous
à
dire.
vous C.
Non
jà
M*", je
viens
s
?i^i 'f'cjirw^
Mcncniaïasfallcgiu'm
î
fô^/t-c/;
jwo-ar
î 'fl
&c/c/w allagne
P^
mammallakhieh
ia-
^
£,.^ iaqaminat helhc.
"^jl"
Aïdollam guctac m-
.
i
f ^^ll'îl'lf'i
'llC
a?/^
ïï
h^F'à9^ P«s
pour...
VIC
?»A*'^
ï
AU
dis-je.
K'J.^
îh'J'fiî
^'
D. Mettez-vous
h^tld.^
hlf^M,
i
ï
mafJahonhhat
na-
o-^r ciidaiih no.
>fl>- s;
D. Non,
je
écoute
vous assis.
ne vous
point
n'êtes
si
pas
^i.ftlOî?"
ïî ?î''?
•[•*pffOf*
^Ifi
î
hArt''?r 13
}^'}
s
9"^?" ïî
î
Aïhoncm, qamiiiat
aiiiimife-
cndahon
vicmm ahamani.
— 194 — Je fais ce que
C.
vous voulez.
C.
?A)^
flt'î'U'î'î
V
toujours
bien
Ixi^^iV
*
s
Echï cnda âlh
ihoiin.
ji^th'i sî
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}\Ù.
s
i
V
a
(DfL
Ténahen dahna nch oï.
?
pour
Oui,
vous rendre vice,
ser-
ve-
je suis
?M^
flA'}'^
îs
lïù^i 'flp»
V*
î
Dahna,
O'*^
ra
^UVî
Era
s
sela anta sc-
hic Jiiaitahou.
a
nu...
D. \'ous avez une admirable
santé et
une mine
frai-
voudrais
Je
Comment
porte
'^AÏIU
A7"'^/2»
iOC
bien...
D.
ïUVsî ^'XiO^^i
a>-;*A
che.
C.
ltxd,i 'flll* î
M"^
épouse
se
votre
î
VT
/jt'r
)iaich ïgTJahc-
::
s
î^"*}
s
*'lt\.
->
:
K'IC
:
HA
:
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VlV
s
ft^«
ï
mâlat no.
::
ifl>«
ftlI.U
mm
Ih nagar mâlat
'^•f*
s
'|*
:
?JC/li jPflJ-^'A::
haVek
«o'^r
5^;;:^//;
hamatan sera
27«/a
matchc iadargo
'mo-
ga/.
dans ce pays.
Comment
C.
donc
traitent les
se
K'J'^^U
ïxi^^^'i 3\''7A
affaires.
D. Entre oui, de-
AT"
rons
fl*" s
ainsi
et
C.
ss
Itv^^
'/''flA"
ï
damen
ïjfaTsmnal.
Ècht, naga, cnnaya-
ï
s
}\^%é^^^^
fâî
/a^^Jo
Ci]i-
7Z0
m'iffaTsamuo.
fl*" :i
C'est très
nant
^.
Art.'!*
î
i
les
dames, des livres
pour
les églises.
Q.uels
h'iéia
et
en
quelles reliures
VCD-
J'ai
reliés
en
ivoire
testament,
vangile
i
flTflf
'}îTCftî'|-AC
la
kristïàn ïani-
âaroiim
mah-
m
cndièt
710.
Mahdaraou ha^chon têrs taçarrcto
alla,
oïrq
mashâf
dagmo bakoda
iaçarreto
le
en
dagmom
iafaqahhâ
de Da-
reliés
aî-
VfW »
l'É-
et
psautier
vid
ï
*^V^^^
L'ancien
doré.
mahdar,
malhaf
7nihoiiao alla.
alla
A B.
*^\)^^
ji
?
des livres
o'irq
lainci! aïnat no,
livres
avez-vous?
^ï^/
las^ne,
An.'hî Y}cni:
A.
I.^
oirqmna
hcr la iaqabhâ hcl-
cDi:4'Vî -ne
wi hdamnna
oïn-
peau noire dorée
gucl ta Daiuiitm
et argentée.
maynourât
Aï
alla.
f^'C^i^î
A;: A.
Je
qu'il
verrai
me
ce
faudra
ÊcJn
mnnc
giiix^
iammïasfallegagncn
—
204 en ce moment-là.
Tr
l>/V"
s
J
AÎ^;^A(^ t/B. Très bien
i
A. Adieu.
J.ioulhii
a
a
ooè\\\'F
!
ïx'"*
cmmalakka-
tâllahou. )ili«
Malkâm,
ïhoun.
il
flftUÇ
ïx^Si
s
Chez
Badahna
ïî
cdar.
un
marchand de photographies.
A.
M-- Je
avoir
de
voudrais des
vues des
la ville et
que
Quest ce
M-^^
des
désire
?
photogra-
phies ou des gra-
vures
A.
I^JE-
:
'l'^^ ^4-'>
A
Ph
ft(iA
s
f hg-
h^ï'k
ho'/,
iakatama
cnna ladâr dàroun
ï
se el efallêg
i
©^
i
fth
jKr•« la fotograf no
mat.
ois ta
petit
for-
fl'Th'J'fî
'>
î
î
M»
?i-«
MflA:J-
hâlhiallahoH.
— 209 — Peut-être
Add)s maqollafia
ferez-
hig-
vous mieux
d'a-
ga'^Xpllat
une
ser-
masla^iml, arogué-
cheter
neuve, car
rure je
0)11
ïchâl
ï-
alJaqa.
vois que l'an-
ne vaut
cienne rien.
C. la
Pourquoi
ce-
^9^^^^C
î
M
Vfl»-
La
nicndcr no.
//'
i(ï
?
S. C'est
une serru-
d'Allemagne
re
qu'on peut
lement
German
sera
qoulf no, bamenâ-
faci-
nicn ikkaffaial.
ouvrir
n'importe
avec quoi.
C.
Les
d'Allemagne sont
donc
bonnes
ne pas !
mcncm
et
Aussi se
vendent-elles très bas prix.
oï ?
Aon, scrao giicm no,
sans aucune solidité.
laqoulf
flj
S. Elles sont assez
mal fabriquées
German
da? aïdollam
hje.^Aî^
?
ia
agar sera
Menno,
serrures
Um,
"hr
:••
AArt,i>
à ;'
î
j&ff'HA «
14
aïbarakke-
sela\ïhou
ha-
rckkach khchaîal.
210 C. Et les serrures
France
de
d'Anffleteree
La serrure
la farançâw'is cnna
et
agar
cngii^cs
ta
qoulf cndamen der
?
fran-
Sela qoulf ia faran-
çaise est estimée
çâivi sera kahoidlou
pour sa
solidité,
ichchâlal, kàeiiglii
à cet avan-
enkoîn iballetal sela
S.
elle
men ewoiistou
tage sur la serruanglaise
rerie
que
toutes
^A
i
ftAr-}
i
lac
pièces d'une ser-
rure sont forgées,
A-
î
njf
î
râ.
mécanique.
serruriers
la
les
de
f *Aç
i
A^i'
ils
ment
principale-
nas
à
secrets,
ainat
mm
içaral-
::
Des serrures de
sûreté, des cade-
katama
loîi ?
A^A-
?
Pans
sarraiagnotch
men
Paris s'occupent-
S.
îuâkïna no iataçar-
i-rtC
elles
De quoi
C.
no,
découpées
sont à la
taçarto
iaengli'^ou giien ha-
tandis qu'en angleterre
houllou
serât
haedj
les
iaal-
Qoulf,
Ci»"
!
'^'feA^.
ni
mcsiircm
tnaqollafia, iabera-
icm
sâten,
lèlam
211 des
coffres-forts
etc.
I>-/V-
C. Je vois que serrurerie est art
^T*} "
la
un
des plus cten-
:
P*|îAÇî
:
AjAî'"
ï
hoiillou içarallou.
/?*l*'^
/*' «
A(^A
i
^;^P.
i
If .i'«
î
Suit le texte.
Traduction textuelle. Qu'elle
(cette in'ism'e)
trissime bien
konnen,
parvienne
aimé du Seigneur,
primus des Princes
et
au
mon
sérénissime illusivlaître, le
Ras Ma-
des Grands de l'Empire
Ethiopien, Dominateur de la principauté de Harrar et dé-
pendances. Altesse. Je prie le
longue vie, fois
vos
et
me
souliers.
Sauveur du monde de vous accorder
......
prosternant hublement à terre
je baise
lo
Lettre
Suit
d'un
texte sur
le
prince.
un ton
autoiitaire.
Traduction textuelle.
Que par
la
l'envoyée force
de
Dieu
Primus des Princes parvienne
Moi, par
(Ja missive envoyée)
et
et
par
de
grâce
la
de
Sa Majesté,
des Grands de l'Empire Ethiopien,
au général d'Avant-Garde X, la
Ras Makonnen
grâce du Seigneur,
je
Comment
vais bien.
vas-tu
?
Lettre
bonne
de
année
un
a
personnage.
S'
î
-nAU^
KiXK
î
noo-i
î
i
l^A•^
^-f-an^Oï^
,
f '^-f A
î
î
^'d^'^'i-
î
ftA
i
hK-f-
î
(îi7A.
ï^r^h^'i•'i
f hii,^:iî:
hn^'i
f -i-^rtiv
î
'>î^+CaAll-« (e-AAi ^TlhC?*!
MU
•'
s)
î
-.
î
«/A
/\n^
rtAiT'.'hp.
(h-ïA.;)::
-f-;^^
;
•"
Traduction textuelle.
Qu'elle
(cette missive')
parvienne au
préféré pour son savoir et sa sagesse, le
très
honorable, au
Monsieur X. Je
Sauveur du monde de vous accorder généreusement
ne santé
et je baise votre
prie bo:i-
main.
Je lends grâce à Dieu Tout-Puissant qui vous a yardé
d'une année à l'autre
Amen.
de vous garder encore présente ses.
mes
Et, en priant le
pour
plusieurs
salutations très-distinguées
Dieu
années et très
d'Israël je
vous
louangeu-
— 273 — Exprime
ceci votre serviteur
Ecrit dans la ville
de l'an d'Incarnation
X.
de Harrar le
i*^""
année de
1900,
Mascaram
jour de S'
Jean
Evangé-
liste.
Lettre
n*wift,;h:f ^
A«?J&
hi-^C
/*'.•'
!
toA.e,-
AV
ï
h'^/iè^n-
^mc
î
AVAu-
.
•••
"
©^.«^"^
h^^Vi
A'^TTT'l;
A-ï-n^:
^ICA-^
î
:•.
!
î
î
égal.
n/^-Art.
:
A*7i^
.-
:
hrAh
î
i^ hVÇ*^'i n h^V^H^P i t\^f^m ôTïT-T h'i
.e.^Al7
ï
a
d'égal
.eLUÇ
;
î
;
:
i
ffl'J.^'."^
M+^
ïicA-f-A
^-ilff:
ï
K*^^
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AnAn,->ur
18
s
?ti"/Aii-
« A^A.-J-
hh^^
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i
i
î
AT4«
:
î
Mhn-i'
rt'J'n;^'^AA î
iTï
s
A->
j
f V'>'fi'î
s
n ;
1
— 274 —
^
::
Traduction textuelle.
Que à
mon
l'envoyée (/a
frère,
mon ami
?nissîve)
de Walda-Mariam parvienne
Mon
Takla-Wald.
frère,
depuis que
nous nous sommes séparés jusqu'aujourd'hui comment va ta santé,
n"es-tu pas
bien
Quant
?
moi, par
à
Notre Seigneur, l'intercession de Notre-Dame de la Trinité, que Dieu du Ciel soit loué suis bien sauf
tu viendras de toi
pour
Diré-Daoua
un revolver
un
et
de
désir
le
je
fusil,
te
prie
et
Mon
voir.
te
la
grâce de
remercié,
le
je
quand
frère,
de m'apporter avec
choisis-moi tout ce
aura de meilleure qualité. Pour
bonté
et la
qu'il
y
prix je te rembourserai
ici.
Je te supplie,
quand tu voudras
mon te
frère,
n'oublie pas
ma commission
mettre en route.
Je prie Dieu d'Israël de nous garder en vie pour nous revoir.
A
Amen.
Dasseta,
à
Habta-Walda, à Gabra-Kristos,
demanderas pour moi comment lement
à
Terou-nech
ta
ils
vont.
femme que
j'ai
Tu été
tu
leur
diras
éga-
très-peiné
— 27) — d'apprendre
la
mort de
sa
mère
que
et
je
lui
fais
mes
condoléances.
Exprime
ceci ton frère en l'Esprit Saint
Takla-Guiorguis Ecrit dans la ville d'Entotto
le
15""'
jour
du mois de
Tahsas, en l'an de grâce 1900.
a un
Lettre
inférieur.
Traduction textuelle.
Que
l'envoyée (la missive) du Général de l'Aile Gauche
Balla/a parvienne au Garde-Fort Walda-Sellacié. es-tu
?
Moi
je
suis bien
Ato Gabra-5^adic mulet, deux chevaux cher de passer.
Dieu merci.
se et
Comment
rendant à Enkober amenant un
cinq bœufs,
il
ne faut pas l'empê-
— 27e — Ecrit au Monastère de
Zégamel
le
21™* jour du mois de
Ter, en l'an de grâce 1900.
Modèle d'un contrat. HH/nij
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Mois
24
(les).
— 287 — Page
Monde
(le).
1
Monnaie.
79
Musique.
84
Noms
propres.
9^
Noms
propres de baptême.
93
Noms
propres particuliers.
95
Nombres cardinaux.
27
Nombres ordinaux.
32
Nombres
31
fractionnaires, collectifs, multiples.
Oiseaux.
86
Opérations.
5 3
Parenté.
37
Parasites.
89
Pays.
éé
Pêche.
85
Peuples.
GG
Plantes.
92
Poids.
79
Professions.
73
Remèdes.
53
Repas
58
(les).
Reptiles.
86
Raisons
25
Sens
(les).
(les).
33
— 288 — Substances chimiques.
Substances minérales. Substances végétales.
Table (ustensils de).
Temps
(division du).
Transport (moyens de).
Vie (circonstances de Ville.
Voyage.
lil*^
la).
BJNnipyir:;
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pj 92:
R3
Robarts Library DUE DATE: Jan. 9, 1996
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Saturday 9