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Ottawa
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NEGOTIUM PERAMBULANS IN
TENEBRIS
DU MÊME AUTEUR Les Fouilles de Delphes,
La Peinture de
La
t.
V, 4
Paris,
,
Fontemoing, 1905- 1908.
religieuse en Italie jusqu'à la fin
du
XIV e
siècle,
1
broch. 8°, Nancy, Imprimerie
l'Est, 1905.
Campana et les Musées français (en collaboration avec M. René Jean), Bordeaux, Féret, 1907.
Galerie
i
vol. 8°,
L'Art symbolique du Moyen Age (Conférence donnée à Mulhouse, à propos des verrières de l'église Saint-Étienne), 1 broch. 8°, Leipzig, Cari Beck, 1907.
Étude sur
le
Spéculum humanae
Spéculum humanae
salvationis,
1
vol. 8°, Paris,
Champion, 190S.
Jules Lutz),
salvationis (en collaboration avec feu
2 vol. f°,
Mulhouse,
Meininger, 1907-1909.
La Vierge de Cultes
et
Miséricorde, étude d'un thème iconographique,
Mythes du Pangée,
1
vol. 8°,
Bronzes grecs d'Egypte de la collection Fouquet, chéologie, 191
vol. 8°, Paris,
I
Fontemoing, 1908.
Nancy, Berger-Levrault, 1910. 1
vol. 4
,
Paris, Bibliothèque d'art et d'ar-
1.
Antiquités grecques de la collection
du vicomte du Dresnay,
1
vol. f°,
Le Dréneuc, 1918.
Les Graffites grecs du Memnonion d'Abydos (en collaboration avec M. Gustave Lefebvre), Nancy, Berger-Levrault, 1919. 1 vol. 4 ,
Les Terres cuites grecques d'Egypte de
la collection
Fouquet, 2 vol. 4
,
Nancy, Berger-Levrault,
1921.
Cet ouvrage est sorti des presses de à NANCY, le I er mars IÇ22.
BERGER-LEVRAULT,
Il
a
été tiré
à 1.000 exemplaires.
Droits de traduction et de reproduction réservés pour tous pays.
PUBLICATIONS DE LA FACULTÉ DES LETTRES DE L'UNIVERSITÉ DE STRASBOURG —— Fascicule
—
6.
Paul PERDRIZET Professeur à
la
Faculté des Lettres
de l'Université de Strasbourg
NEGOTIUM PERAMBULANS TENEBRIS
IN
ÉTUDES DE DÉMONOLOGIE GRÉCO-ORIENTALE
l?g$'.
1
49, d'où Arch.
Anuigcr, 1910,
NEGOTIUM PERAMBULANS IN TENEBRIS triptyque du musée du Caire
(i)
:
1$
sur la face externe d'un des volets,
sont peints deux saints, à cheval et chargeant, plongeant leur lance,
dans
l'un
gueule d'un serpent, l'autre dans
la
tombée à
blesse
terre
ment sur de
le
diale
type ne se rencontre pas seule-
monuments, sur des objets
petits
plus significatif et
bouche d'une
bien d'un être féminin qu'il s'agit,
(c'est
visage est émaillé de blanc). Mais
le
la
portatifs
:
l'exemple
plus instructif que j'en connaisse est une
le
peinture de grandes dimensions,
la
fresque de Baouît, qui repré-
sente saint Sisinnios à cheval, transperçant de sa lance la diablesse
Alabasdria.
En
raison de son importance et de son intérêt,
cette
page étrange de l'imagerie copte nous arrêtera quelque temps.
IV
Dans
l'hiver 1901-1902,
M. Jean Clédat
exhumait à Baouît,
(2)
d'Achmounéîn (Hermopolis magna) en Haute-Egypte, les ruines par un abbé du nom d'Apollon, f vers
près
d'un grand couvent bâti
400
(3).
Le principal
intérêt de cette fouille réside dans les peintures
à fresque qui décoraient les nombreuses chapelles du monastère.
Ces fresques, bien entendu, n'ont pas été retrouvées intactes. Mais
nous ont été rendues, nous y rencontrons les deux types spécialement égyptiens dont nous venons de parler, celui du Saint cavatelles qu'elles
perçant de sa lance
lier
la diablesse, et celui
Ce type-ci est représenté dans spécimens
(4).
qui montre,
par
le
nios),
De
les
l'autre, elles n'offrent
comme
du Saint cavalier passant.
fresques de Baouît par de
qu'un exemplaire
je le disais tantôt, la diablesse
nombreux (5),
celui
Alabasdria vaincue
cavalier Sisinnios (copte Sousinnios, éthiop. Sousnyos, Sose-
un Saint dont
moration tombant
les
le
Bollandistes n'ont encore rien dit, sa
23
novembre
commé-
(6).
Lorsque fut exécutée l'aquarelle reproduite ci-après
(fig.
6),
la
partie supérieure de la fresque s'était détachée et avait péri irrémé-
diablement, en sorte que du (1)
nom
de Sisinnios
il
ne reste plus que
Koptiscke Kunst, p. 116, pi. VI.
et la Nécropole de Baouît (Mém. de l'Insi. fr. d'areh. or., t. XII). CkUM, Der kl. Apollo nnd das Kloster von Baouît (Aeg. Zeil., 1902). (4) Clédat, op. L, pi. XXXIX, p. 75 (s. Victor et trois autres saints dont les noms manquent), pi. LUI et LIV, p. 80 (s. Phoebammon), pi. LXXXIX, p. 136 (quatre saints dont les noms
(2)
Le Monastère
(3)
ont disparu). (5) là., pi.
(6)
LV-LVI.
DlDRON, Manuel
d'icon. chr., p, 389.
NEGOTWM PERAMBULANS
14 les
deux dernières
lettres,
comme
je
IN TENEBR1S
m'en
Caire, où les fresques de Baouît ont été transportées
au moment de
entier avait été lu
au Musée du
suis assuré ;
mais
le
nom
découverte par M. Clédat, et
la
il
n'y a aucune raison de douter de cette lecture.
On mentionne
martyre, à Antinoé, sous Dioclétien, d'un saint
le
Fig. 6.
Sisinnios
En
(i).
raison de la proximité de Baouît et d'Antinoé, de-
vrons-nous identifier
le
martyre d'Antinoé
et le Saint de la fresque
de Baouît? Mais, outre qu'il semble y avoir eu en Egypte plusieurs
martyrs du
nom
de Sisinnios
tance au fait que
le
(2), il
faut attacher une grande impor-
Saint de la fresque Clédat est représenté en cos-
tume parthe, tunique blanche à médaillons brodés Ainsi,
pour
Parthe.
En
le
Acla
nom
effet, le
S S,
(3) Cf. les médaillons
XV,
de Sisinnios est parthe
Biography, IV,
(4).
était
Le premier
un
saint
p. 704.
IV, p. 587; IIyvernat, Les Actes des Martyrs de l'Egypte, p. 99.
juillet,
Annales du Service,
pantalon blanc.
moine qui peignit cette fresque, saint Sisinnios
(1) Ditl. oj. Christian (2)
(3),
brodés sur
pi.
la
tunique de l'Hippolyte de
la
mosaïque de Cheikh Zouède,
III.
(4) JuSTI, lranische Namen, s. v. Sisinnio?, Sisinès, Sisinnakios, Sisis. Quant à Sisoès, que Justi rapproche à tort «lis précédents, c'est un nom égyptien, dérivé de aiaor , « postiche -, (
(Karl Kr. \V. SCKMIDT, dans Gdti. Gel. Atueigen, 1918, p. 113).
NEG0T1UM PERAMBULANS IN TENEBRIS mémoire de
Sisinnios naquit donc en Parthie; après lui et en
nom
fut
donné dans
tout l'Orient,
15
notamment en Egypte,
à
lui,
son
beaucoup
de chrétiens, dont plusieurs à leur tour devinrent des saints.
un
Sisinnios le Parthe, dont les chrétiens d'Orient ont fait serait sans doute bien surpris,
La
critique
revenait dans cette vallée de larmes.
moderne a des raisons de
manichéen, et
réalité
s'il
même
saint, en
croire
que
le
personnage fut en
successeur direct de Manès, l'héritier de sa
doctrine et de son autorité. Les apologistes chrétiens ont arrangé tout cela
ils
:
racontaient que Sisinnios, dégoûté de son maître, avait
fourni à Archélaos des renseignements confidentiels qui permirent
à celui-ci de confondre Manès en colloque public trahison, Sisinnios aurait mérité la sanctification.
Il
avait contribué
à détruire la peste diabolique de Mànès. C'est pourquoi
tout l'Orient
(2),
un
si
puissant protecteur contre
maléfices, et, partant, contre les maladies.
comme
jours,
Basset
(4)
l'ont
pour
montré Wessilowsky
les
(3)
Il
devint, dans
il
diable et ses
le
l'est resté
pour
roumain
folklores bulgare,
Ainsi, par sa
(1).
le
jusqu'à nos
folklore russe et
et abyssin.
Dans un
des manuscrits éthiopiens de la légende de saint Sousnyos (tous ces
manuscrits semblent assez récents), le
Ouerzelyâ étendue sur
le sol (5). »
talismanique reproduite ci-après la
«
on voit une image représentant
Saint à cheval, enfonçant sa lance dans
La (fig.
le
flanc droit de la diablesse
fresque de Baouît et la médaille 7)
prouvent que
la
croyance à
puissance prophylactique de saint Sisinnios remonte à une époque
ancienne.
un certain nombre de textes grecs médiévaux à destination prophylactique, où saint Sisinnios apparaît comme un doublet Il
subsiste
de l'archange Michel serpens, de
même
:
de
même que
celui-là vient à
celui-ci
triomphe de Vantiquus
bout d'une affreuse diablesse;
portait plusieurs noms, le Saint lui en arrache
rend inofîensive pour tous ceux qui
les
elle
le secret, et ainsi la
sauront. Voici
le
texte et la
traduction de la plus curieuse de ces Prières (Evxai) ou Légendes
(1)
Basset, Apocryphes éthiopiens, IV, p. 17; Harnack, Acla Archelai (Texte uni Unter-
suchitngen,
I, p. 3).
Amulette éthiopienne de s. Sisinnios Journ. asiat., 1907, I, p. 346 (Halévy). Le Guide peinture (DlDRON, Manuel, p. 323) n'a garde d'oublier ce saint personnage.
(2)
de la
:
article dont (3) Journal (russe) du ministère de VI. P., juin 1886, savant à M. Théophile Perdrizet. (4)
Apocryphes éthiopiens, IV,
(5)
Basset, op.
/.,
p. 40-
p. 14. Cf.
je
dois la traduction
PEETERS, ap. Anal. Bolland., XXVII,
p. 69.
NEGOTWM PERAMBVLANS
l6
IN TENEBR1S
(Legenda) de Saint Sisinnios. Elle achèvera de nous persuader de l'origine
parthe de ce personnage
rivés de la
même
y portent des noms dé-
ses frères
:
racine iranienne que
sa sœur,
le sien, et
nom
le
Mélitène, lequel est proprement celui d'une ville du haut Euphrate près de laquelle
y avait justement une
il
localité
dénommée
Sinès
de (i), (2). j
V 'ÀTroaxpoçï] xr,ç [xtapàc xal àxaôapxou ruXXcùç
'Etù xf^ paalXefaç Tpaïavoù t^xiç
TtaiSia
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(1)
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(2)
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xal s|a'!psxov xaXsTxai
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xw oïxo
Toxs Xsyoyaiv
ol'xoy sxstvoy.
xo xsxapxov Kapxpy;,
Hsxojjlsvyj (i
)
.
i
'ASixta,
[xo
Kal àxoyaavxsç xauxa xà
cr/pt-via
xot£
aùx
coupèrent
la tresse droite
de Gyllou et en
pour leurs chevaux, puis, en possession des noms,
2to(v!E,
SIVT),
ils
Kl;
tr,v
II(i)lV.
firent leur entrée à
K*\ O'JVOo!:*. (aoj, littéralement
tàijj' 7jjr.au ôvôixtu-.i
cette expression plus loin, (3)
Les saints furent grandement surpris
repris les enfants de Mélitène tous bien vivants,
Gyllou. Et quand
(2)
Ils
»
«
ils
Constantinople
mes douze noms
et
demi
».
et
relâchèrent (3),
toute
J'expliquerai
MEGOTIUM PERAMBULANS IN TENEBRÎS la
K)
grâce à Dieu qui, par ses saints, avait accompli ces
ville rendit
miracles.
Les personnes qui useront du phylactère contre Gyllou ne subi-
«
ront aucun mal du fait de
celle-ci. »
Le phylactère contre Gyllou nons de traduire
:
le
texte que nous ve-
quand un enfant tombait malade, on
legenda de saint Sisinnios que, la lui lisait
que
n'est autre
on voit par une version arabe (i) de l'oraison ou
au chevet de son
puis on la
lit,
lui
suspendait au cou.
VI Avant de
parler de IVaXcu, qui était
nom
le
principal de la dia-
quelque chose de ses autres noms.
blesse, disons
D'abord pourquoi ce nombre fractionnel de douze noms
Dans une et
prière grecque contre l'épilepsie,
demie de diables
(2).
La
5),
occupation d'être complet
la
drait toute valeur,
Je connais des a) celle
s'il «
nombre
(3),
vipère de Malte
:
qu'on Actes,
qu'il
prétend conjurer
y avait une seule omission,
douze noms et demi
qu'on vient de
lire
dans
répond à
entier,
la pré-
veut paraître n'avoir oublié
(4); l'exorciste
aucun des êtres malfaisants
:
demi?
exorcise les 365 races et demie de reptiles et de bêtes
sauvages. Cet t^iom qui s'ajoute au
rentes
de
et
est question de 72 espèces
prière grecque de saint Paul
disait contre les serpents (en souvenir
xxviii,
il
»
le
:
l'exorcisme persi
petite fût-elle.
de Gyllou cinq
listes diffé-
texte traduit ci-dessus, elle
a été publiée par Sathas dans sa Bibliotheca graeca medii aevi, p. 573, d'après
Parisinus graecus 395,
le
analogue, qui se trouve dans
le
aussi par Sathas, op. L, p. 576;
c)
p.
575 d'après
que
je n'ai
même une
f° 12; b)
d)
une
Poima7idres,p. 299, d'après
liste le
V,
manuscrit et qui a été publiée
liste
reproduite par Sathas, op. L,
De opinionibus Graecorum
le
pas vu;
t.
une dans un texte
d'Allatius, vieil
ouvrage
dans un texte publié par Reitzenstein,
Parisinus graecus 2316, f°432;